L'IVG médicamenteuse pas assez proposée
Autre problème souligné par l'IGAS comme par le professeur Nisand : celui du choix de la méthode d'intervention. Une IVG sur deux est dorénavant médicamenteuse, mais le professeur Nisand estime que quand on offre le choix aux femmes, 95% d'entre elles décident d'éviter l'IVG chirurgicale si elles savent qu'elles seront accompagnées. "Je ne suis pas tendre avec les gens qui n'offrent pas le choix aux femmes. C'est du sadisme médical", a-t-il affirmé sur RTL, lundi 7 mars.