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 Alcoolisme

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tib




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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyDim 6 Mai 2012 - 7:15

L'Afssaps admet l'usage du baclofène pour traiter l'alcoolisme

Le Monde.fr | 25.04.2012 à 11h39

L'agence du médicament admet désormais l'usage du baclofène dans le traitement de l'alcoolisme, mais "au cas par cas", dans son dernier point d'information sur ce médicament normalement prescrit comme décontractant musculaire.
"Si l'efficacité du baclofène dans la prise en charge de l'alcoolo-dépendance n'est pas encore démontrée à ce jour, de nouvelles données (...) montrent des bénéfices cliniques chez certains patients", souligne l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). "Concernant spécifiquement cette utilisation hors du cadre actuel de l'autorisation de mise sur le marché (AMM), les données de pharmacovigilance sont très limitées, mais ne remettent pas en cause la poursuite de ce type de traitement", note-t-elle.
Plus de trente mille personnes prennent déjà du baclofène en France pour des problèmes d'alcool, hors autorisation de mise sur le marché. "Cependant, une meilleure connaissance du profil de sécurité d'emploi du baclofène dans ce cadre est absolument nécessaire et justifie de maintenir une surveillance très active de l'Afssaps et des professionnels de santé."
L'Afssaps rappelle que "la prise en charge de l'alcoolo-dépendance implique une approche globale par des médecins expérimentés dans le suivi de ce type de patients dépendants". "Le recours au baclofène doit être considéré au cas par cas et avec une adaptation de la posologie individuelle afin de garantir dans le temps la dose utile pour chaque patient", précise-t-elle.
L'Afssaps souligne qu'elle a autorisé en avril dernier le lancement d'un essai clinique contrôlé, baptisé "Bacloville", chez des patients présentant une consommation d'alcool à haut risque qui seront suivis pendant au minimum un an. Une nouvelle actualisation est prévue "dans un délai de six mois".
Dans son point datant de juin 2011, l'Afssaps se bornait à "une mise en garde" à propos de ce médicament, autorisé depuis 1974, pour soulager des contractures musculaires involontaires d'origine neurologique. Une position jugée dissuasive qui avait été vivement critiquée par des patients et le Pr Bernard Granger, chef de service de psychiatrie.
La popularité du baclofène (Lioresal et générique) a explosé en 2008 avec la parution du livre Le Dernier Verre, d'Olivier Ameisen, cardiologue, devenu alcoolique, qui y racontait que ce médicament avait supprimé son besoin de boire.
Lire : Olivier Ameisen, le croisé du baclofène, médicament anti-alcoolisme
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vino veritas




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MessageSujet: Alcoolisme: le scandale du Baclofène   Alcoolisme EmptyLun 16 Avr 2012 - 8:57

Alcoolisme: le scandale du Baclofène
Trente mille personnes alcooliques consomment illégalement ce médicament. Les prescriptions ne cessent d’augmenter. La Sécurité sociale rembourse. L’Afssaps tergiverse pour des raisons douteuses. Un psychiatre accuse....

http://www.slate.fr/story/53301/baclofene-scandale-alcoolisme-medicament
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sophie




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MessageSujet: Prudence avec le hors AMM   Alcoolisme EmptyLun 16 Avr 2012 - 6:56

Deux pharmaciennes licenciées dans une officine de Nouméa pour délivrance de baclofène -
La prescription et la délivrance de bacloféne, un médicament utilisé dans le sevrage alcoolique, n'est pas sans risque en particulier pour les professionnels de santé. Dans un contexte particulier de conflit tarifaire entre l'assurance maladie de Nouvelle Calédonie (RUAMM) et les 75 pharmacies de l’île, deux pharmaciennes salariées d'une officine de Nouméa sont en cours de procédure de licenciement à la suite de délivrance de bacloféne hors AMM.

http://www.i-med.fr/spip.php?article461
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florence




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MessageSujet: Non n'arrête pas...   Alcoolisme EmptyMer 21 Mar 2012 - 8:16

Alcoolisme: des premiers résultats encourageants pour le Baclofène
Lesrésultats d’une étude préliminaire menée par les professeurs Philippe Jaury (université Paris-Descartes) et Renaud de Beaurepaire (centre hospitalier Paul-Giraud), ont montré l’efficacité du baclofène à de très fortes doses contre la dépendance à l’alcool. Cette étude, publiée dans la revue Alcohol and Alcoholism, ouvre la voie à un essai clinique pour évaluer l’utilisation de ce relaxant musculaire pour traiter l’alcoolisme.

Cette évaluation a été menée sur 132 gros consommateurs d’alcool. Après une année de traitement avec le baclofène, 80% des patients étaient devenus soit abstinents (78), soit consommateurs modérés (28). En incluant comme « échecs » les patients « perdus de vue », pour qui l’évaluation complète n’a pas pu être possible, le taux de succès atteint 58 %. Bien au-dessus du taux de réussite moyen, estimé entre 20 et 25 %, au bout d’un an de traitement avec les principaux médicaments aujourd’hui utilisés : le naltrexone et l’acamprosate. Les effets secondaires les plus souvent observés avec les fortes doses de baclofène ont été la fatigue, la somnolence, l’insomnie, les vertiges et les troubles digestifs.

Un essai clinique comparatif contre placebo devrait démarrer en mai et se terminer fin 2013. Conduit par le Professeur Jaury, il mobilisera 60 médecins investigateurs et inclura 320 patients alcooliques suivis sur une année. Cet essai sera financé en grande partie par la Sécurité sociale (750.000 euros) et pour le reste « par un particulier, un mécène », précise le Professeur, soit une somme totale de 1,2 million d’euros. Les doses de médicament seront augmentées très progressivement, dans la limite de 300 milligrammes par jour, avec l’objectif de supprimer « l’envie de boire ».

Source : Le Figaro et AFP

21 mars 2012

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serious




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MessageSujet: J'arrête le baclofène.   Alcoolisme EmptyMer 14 Mar 2012 - 9:30

Le LSD serait-il un traitement efficace contre l’alcoolisme ? Des chercheurs norvégiens viennent de montrer que ce psychotrope hallucinogène puissant a un effet durable contre la dépendance à l’alcool. Leur étude, publiée dans le Journal of Psychopharmacy, suggère qu’une dose de cette drogue psychédélique a un effet suffisamment efficace chez les patients alcooliques pour les préserver de toute tentation de rechute, parfois pendant plus de 40 ans.

Le psychologue Pål-Ørjan Johansen et le chercheur Teri Krebs, du département d’études neurologiques de l’Université de Science et de Technologie de Trondheim, en Norvège, sont parvenus à des conclusions pour le moins stupéfiantes après s’être plongés dans des études des années 50, 60 et 70 menées sur 500 jeunes patients alcooliques. Et celles-ci comportent des travaux indiquant qu’une dose de LSD (comprise entre 210 et 800 microgrammes) a aidé, dans 59% des cas et en complément d’une psychothérapie, des alcooliques à s’abstenir durablement de toute tentation d’une boisson alcoolisée (en parallèle chez les patients bénéficiant d’un autre traitement, une abstinence a été remarquée chez seulement 38% d’entre eux).

Chez les cobayes au LSD, l’abstinence à l’alcool a varié d’une période allant de six mois à des dizaines d’années. Et c’est avec étonnement que les chercheurs, en compilant les données, se sont aperçus que plusieurs des patients en question n’ont plus bu une seule goutte d’alcool durant les 40 années qui ont suivi la prise de cette fameuse dose de LSD. Pål-Ørjan Johansen et Teri Krebs en sont désormais convaincus : « Soigner son alcoolisme requiert de changer la perception qu’on a de soi. C’est ce que fait le LSD ». Cette drogue, classée parmi les hallucinogènes les plus puissants, porterait-elle ses fruits en agissant sur la perception et la conscience des alcooliques ? Si les deux chercheurs norvégiens ne doutent pas de l’efficacité de la méthode, ils invitent en revanche à la prudence, car les effets d’un tel traitement sur le très long terme sont inconnus.

Rappelons que le LSD est un psychotrope découvert en 1938. Si ce produit illicite a suscité de nombreux espoirs dans l’univers scientifique et médical (il a été utilisé dans les années 60 pour traiter divers troubles psychiatriques, des névroses anxieuses et des phobies), les experts ont constaté qu’il avait des effets néfastes sur la santé, notamment au travers des effets secondaires graves qu’il peut occasionner. La découverte remise sur le devant de la scène dans les laboratoires de l’université de Trondheim devrait toutefois intéresser les chercheurs français, l’hexagone étant touché de plein fouet par le fléau de l’alcoolisme, qui y occasionne 45 000 décès par an.

http://www.carevox.fr/medicaments-soins/article/le-lsd-un-remede-etonnant-contre-l
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sophie




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MessageSujet: Rappel de base pour ce qui devient un palliatif de plus en plus banal   Alcoolisme EmptyMar 17 Jan 2012 - 17:22

L'Inpes repart en campagne contre l'alcool
La Dépêche, La Provence - 16 janvier 2012

L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) et le ministère chargé de la Santé relancent la diffusion télévisuelle de la campagne "Le compte à rebours", qui a pour but de sensibiliser le grand public aux méfaits d'une consommation régulière et excessive d'alcool. Diffusé jusque mi-février, le spot met en scène un quadragénaire dans son quotidien et s'achève sur le message "Boire un peu trop tous les jours, c'est mettre sa vie en danger", précise La Provence. La dernière image indique les coordonnées téléphoniques et internet de la plateforme "Alcool Info Service". L'Institut tient à rappeler qu'une telle consommation d'alcool peut entraîner des cancers, des troubles psychiques, des pathologies cardio-vasculaires et digestives, et même des atteintes du système nerveux.
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fangio




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MessageSujet: Lioresal   Alcoolisme EmptyDim 1 Jan 2012 - 14:53

L'alcoolisme est malheureusement un phénomène qui prends de l'ampleur dans notre société moderne toujours plus stressante et il me semble judicieux de régulièrement reparler ( ici au travers de témoignages ) de ce traitement prometteur.
Bonne années 2012 au passage.

Mon mari veut continuer son traitement au Lioresal
Je suis très intéressée par tous les avis donnés dans cette discussion de Baclofène, ou Liérosal. En fait, mon mari, alcoolo dépendant depuis 30 ans a commencé cette expérience au Val D'estreilles, dans le Sud de la France, où une équipe de psychiatres motivés ont décidés de pousuivre le concept du Dr Olivier Ameisen, et parcouru d'inonbrables articles dans des revues médicales spécialisées que l'on touve sur le Net dans "Alcool and Alcoolism". Comme nous avons du remonter sur Lille et arreter le suivi du traitement, mon mari a décidé de le poursuivre seul en se basant uniquement sur l'experience d'Ameisen et en se prêtant aux memes dosages. Il a commencé il y a environ 2 mois, et en augmentant de 20 mg tous les trois jours,il ajourd'hui le seuil de 180 mg/jour, au grand dam du corps médical de Lille qui le trouve en "surdose". Je dois vous dire que depuis qu'il suit la formule du Dr olinier àmeisen auquel il a décidé d'accorder toute sa confiance, car il faut savoir que ce merveilleux cardiologue a pris le risque de renoncer à sa carrière pour aider ses compagnons d'addiction. Ce qui devait arrivé l'a été : il a été remercié l'année qui a suivi la rédaction de son livre, signon courageusement de son vrai nom. Il travaillait depuis 21 ans avec ce CHRU. Le problème pour nous est que nous nous heurtons au septissisme du corps médical qui refusent de remettre en question des concepts dépassés. Je peux comprendre leur prudence, mais il y a maintenant un recul de 7 annes, et les articles sur le net ne manquent pas. Il suffit simplement d'accepter que les choses peuvent changer, et s'informer, s'informer, s'informer. Nous recherchons un médecin qui pourrait suivre mon époux dans son traitemement. Car, persuadé dur comme fer d'avoir vaincu son addiction à l'alcool, il n'est pas question pour lui d'arreter. Nous aussi sommes amenés à nous procurer du Lioresal sur Internet, et nous avons trouvé un site à des prix très correct. La morale de cette histoire, c'est qu'àprès 3 mois mon mari n'est plus le même. Il retrouve goût à la vie et ne parle plus de suicide. Si ce n'est pas une révélation ca ? Et je n'ai jamais trouvé sur le net aucun article parlant d'addiction au Liorésal, c'est tout simplement ridicule.

http://www.same-story.com/addictions-dependances/alcool/mon-mari-veut-continuer-son-traitement-au-lioresal-225643b


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frederique




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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyVen 28 Oct 2011 - 16:01

Alcoolisme et coût sociétal : un constat suédois sans complaisance

Publié le 27/10/2011



L’Union Européenne est la région du monde la plus touchée par l’alcoolisme, avec 58 millions d’européens consommant plus que recommandé (classiquement plus de 20 g/j chez la femme et 30 g/j chez l’homme). La Suède n’a donc pas l’apanage de l’alcoolisme, et le constat de son augmentation, évaluée à 10 % depuis 1997, n’est probablement pas isolé. Une équipe du Karolinska Institute de Stockholm, menée par Rolf Hultcrantz, a relevé la consommation totale d’alcool en Suède (où la distribution est fortement contrôlée) et a comparé ces données à celles obtenues à partir d’un questionnaire téléphonique élaboré. Cette enquête, publiée en 2010 dans le journal suédois Läkartidningen, a été présentée en conférence de presse au cours du 19ème congrès de l’UEGW, un congrès qui avait décidé de mettre particulièrement l’accent sur l’hygiène de vie.

Pratiquement, la consommation observée a considérablement augmenté entre 1997 et 2004 pour diminuer légèrement ensuite, mais rester supérieure de 10 % en 2010 à celle de 1997. Il est intéressant de constater que c’est surtout la consommation de vin qui a augmenté (de 18 à 30 litres par an, soit une moyenne de 4 verres/semaine), de même que celle de bière (de 31 à 47 litres/an, soit 3 verres de 33cc par semaine), tandis que la consommation de liqueurs a diminué légèrement, mais de manière constante (de 7,5 à 5,3 litres/an, soit 10 cc/semaine) ; ces 3 formes de consommation représentant 90 % environ de la consommation suédoise. Mais le plus frappant, ce sont les données de mortalité liée à l’alcool en 2010 : 6,3/100 000 habitants masculins (soit une augmentation de 60 %) et 1,8 chez la femme (+50 %) ! Ce constat désolant se traduit par un coût annuel excédentaire (frais médicaux directs et indirects) de 63 000 € pour l’homme et 57 000 € pour la femme en Suède en 2006.




Dr Dominique-Jean Bouilliez


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MessageSujet: J'arrête la bière....en dehors des matchs de Rugby.    Alcoolisme EmptyMer 19 Oct 2011 - 14:13

Boire de l'alcool au long cours: un facteur de risque de surcharge abdominale ?
L'impact de la consommation d'alcool sur l'accumulation de graisse abdominale est peu connu. Il a été fréquemment observé une augmentation de la prévalence de l'adiposité abdominale chez les forts buveurs, en particulier de bière. Mais certaines études n'ont pas confirmé ces données. D'autres ont abouti à des conclusions différentes suivant le sexe, le type de boisson consommée et les régions géographiques considérées. Une analyse réalisée dans la cohorte européenne EPIC enrichit les données sur l'effet potentiel de l'alcool sur la graisse abdominale.

La consommation d'alcool a été évaluée rétrospectivement à l'aide de questionnaires, à différents âges de la vie (20 ans, 30 ans, 40 ans, 50 ans) et lors du recrutement des sujets dans l'étude (quantité moyenne d'alcool consommée au cours des douze derniers mois). Ainsi, huit groupes de sujets ont été constitués : les abstinents, les anciens buveurs et six catégories de buveurs selon la consommation moyenne évaluée en g/j (de moins de 6 g/j à plus de 96 g/j).

Après ajustement sur les principaux facteurs confondants (âge, centre, tabagisme, niveau d'activité physique, apport calorique, poids, taille, maladies chroniques, prise d'un traitement de la ménopause, nombre de grossesses), une relation positive était observée entre la consommation d'alcool et le tour de taille ou le rapport taille/hanche. Bien que cette relation soit déjà significative pour le vin, elle semblait plus forte pour la bière. La relation positive existait déjà pour des consommations légères à modérées d'alcool. De façon concordante, le risque d'obésité abdominale était positivement associé à la consommation d'alcool. Ainsi, par rapport aux abstinents, ce risque était augmenté respectivement de 6 %, de 20 % et de 40 % pour une consommation « légère à modérée» (12 à 24 g/j d'alcool), « modérée à élevée» (24-60 g/j) et « franchement élevée » (>60 g/j).

Il faut préciser qu'en valeur absolue, l'augmentation de tour de taille associée à l'augmentation de la consommation d'alcool parait minime puisqu'elle est de l'ordre du centimètre, entre les abstinents et les plus grands consommateurs d'alcool. Toutefois, selon les auteurs, la relation positive alcool-tour de taille constatée, si elle s'avérait causale, pourrait avoir une signification clinique importante, au niveau de la population.

En clair, selon ces résultats, boire de l'alcool tout au long de la vie, même modérément, doit être considéré comme un facteur de risque de développer une surcharge abdominale !




Bergmann MM et coll. The association of lifetime alcohol use with measures of abdominal and general adiposity in a large-scale European cohort. Eur J Clin Nutr 65: 1079-1087; advance online publication, May 11, 2011; doi:10.1038/ejcn.2011.70

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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyMar 21 Juin 2011 - 13:09

pascal a écrit:
Ayant 3 patients qui prennent ce traitement ( baclofene à 140 mg jour) j'ai demandé l'avis aux 2 labos le commercialisant ( Novartis et Sanofi) .
Les 2 restent sur le fait que c'est hors AMM . Le souci essentiel reste l'absence d'étude sur le long terme .
Je dois reprendre contact avec le prescripteur prochainement et c'est trés délicat ( prescripteur important pour la phie etc ........) .
Je serais intéressé de savoir comment vous avez géré ce problème de prescription. En effet, en tant que pharmacien on se retrouve fréquemment exposé à des ordonnances hors AMM. Si le cas est exceptionnel, il est aisé de fermer les yeux, mais si le prescripteur applique cette méthode sur de nombreux patient et que nous délivrons, je me demande dans quelle mesure nous pouvons jouer un rôle. Prendre contact avec la CNAM, ou faire du non-remboursé me semble peu opportun.
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pascal

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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyMar 31 Mai 2011 - 6:31

Ayant 3 patients qui prennent ce traitement ( baclofene à 140 mg jour) j'ai demandé l'avis aux 2 labos le commercialisant ( Novartis et Sanofi) .
Les 2 restent sur le fait que c'est hors AMM . Le souci essentiel reste l'absence d'étude sur le long terme .
Je dois reprendre contact avec le prescripteur prochainement et c'est trés délicat ( prescripteur important pour la phie etc ........) .
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MessageSujet: Baclofène   Alcoolisme EmptyMar 31 Mai 2011 - 6:09

Alcoolisme : le baclofène en attente d'évaluation
Extrait:

Environ cinq millions de Français ont un problème avec l'alcool, dont deux millions souffrent de dépendance. Depuis une vingtaine d'années, bon nombre d'entre eux ont réussi à soigner leur addiction grâce au baclofène (Lioresal®), un myorelaxant pris à très haute dose, alors qu'ils avaient jusque-là tout essayé sans succès.

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cyber




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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyDim 10 Avr 2011 - 14:55

Lutter contre l’alcoolisme
Publié le 10 avril 2011 par contact

J’ai reçu un document sur l’alcoolisme qu’il m’a semblé utile de diffuser.

En effet, l’approche est différente de celles qu’il m’a été donné de voir. Ecrit par des alcooliques, la démarche repose sur les notions de dépendance et de libération que leur slogan résume parfaitement : l’alcool, c’est pas un problème ; c’est une solution. Une mauvaise solution.

Il s’agit de faire évidemment comprendre que l’alcoolisme est une maladie et qu’on ne pas peut la soigner par la volonté. Dès lors, il est essentiel de changer le regard que la société porte sur ceux qui en sont atteint et parallèlement d’aider ces derniers à lutter contre la honte, principal frein dans l’accès aux soins.

Vous pouvez accéder à ce petit livret de 8 pages en cliquant ici.

http://www.urvoas.org/2011/04/10/lutter-contre-lalcoolisme/

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tissot




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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyMar 15 Mar 2011 - 20:32

Un Britannique de trois ans a été traité pendant six mois pour une addiction à l'alcool. Un cas extrême qui vient lever le voile sur le grand problème de l'alcool chez les jeunes anglais.

Clément Mathieu - Parismatch.com
Plus que dans beaucoup de pays, la consommation d’alcool chez les jeunes est un très grave problème en Grande-Bretagne. Alors que les autorités se battent contre le «binge drinking» - soit se «goinfrer» d’alcool – pratiqué par les adolescents, le royaume devra peut-être même s’attacher au cas d’enfants plus jeunes encore. En effet, les médias britanniques rapportent qu’un enfant de trois ans a été hospitalisé pour son addiction à l’alcool, l’an passé. Originaire des West Midlands, l’alcoolique le plus jeune du pays, a été traité pendant six mois. Selon des spécialistes cités par le «Daily Mail», l’enfant a dû être victime des plus graves effets du sevrage, comme des changements d’humeur et de forts tremblements. Les experts redoutent également que l’enfant puisse avoir des séquelles au cerveau.

Son identité n’ayant pas été révélée, on ignore comment l’enfant a pu développer une telle addiction aussi jeune. Son cas a été révélé par les statistiques fournies par le service public de santé britannique, le National Health service (NHS). Il fait partie des 13 enfants de moins de 12 ans qui ont été déclarés comme alcooliques entre 2008 et 2010. Dans le même temps, 106 adolescents, âgés entre 13 et 16 ans, ont eu le même diagnostic. Parmi eux, 74 ont été admis aux urgences pour de graves crises éthyliques. Ces statistiques ont été dévoilées, rappelle le «Telegraph» de Londres, à peine quelques semaines après que les hôpitaux universitaires de Brighton et du Sussex ont révélé que des centaines d’enfants sont admis chaque année dans tout le pays pour des problèmes d’alcool. Selon leurs recherches, quatre enfants de cinq ans font partie des 165 individus de moins de 17 ans qui ont été traité pour des addictions à la drogue ou à l’alcool dans les cinq dernières années. Et toujours d’après cette étude, les parents sont la plupart du temps à l’origine de cette rencontre avec l’alcool.

Le précédent record détenu
par une fille de huit ans

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frederique




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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyLun 14 Mar 2011 - 15:25

Pour la sécu, si pas de remboursement, pas de problèmes.

Hors AMM, plus génant, vivement des études publiées.

Le problème, c'est que le baclofène n'est pas très rentable car peu cher...

A suivre...
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pascal

pascal


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MessageSujet: Re: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyLun 14 Mar 2011 - 13:14

J'ai un medecin qui utilise le baclofene dans le sevrage alcoolique
Il semble satisfait des résultats .
Par contre , c'est totalement hors AMM ; donc faudrait pas que la sécu mette son nez la-dedans .
Autre question : pas à ma connaissance d'étude sur le long terme ; quid de la dépendance , toxicité ( dose élevée ) .......
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frederique




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MessageSujet: Alcoolisme   Alcoolisme EmptyLun 14 Mar 2011 - 10:52

Sortir de l'alcoolisme : le phénomène baclofène

En France, des centaines d’alcooliques ont recours à un médicament pour sortir de la dépendance, le baclofène. Un décontractant musculaire prescrit sous le manteau depuis que le Pr Olivier Ameisen a publié un livre dans lequel il explique comment il s’est sorti de l’alcoolisme grâce au baclofène. Sciences et Avenir a enquêté sur l’étonnant succès de ce médicament.



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