| Avenir-Pharmacie Groupe de discussion et d'action pour la Pharmacie d'Officine |
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| ruptures approvisionnements | |
| | Auteur | Message |
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JP
Messages : 217 Date d'inscription : 12/03/2012 Localisation : quelquepart
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Mar 2 Oct 2012 - 13:48 | |
| - Guilhem a écrit:
- Ma banque pour accéder à certaines fonctions en ligne: galère pour solutionner car tout le monde se renvoie la balle jusqu'à ce qu'un des fournisseurs émette l'hypothèse que c'est un problème entre la chaise et le clavier, c'est à dire .... toi! C'était un pb de paramètres chez le conseiller de la banque.
Serveur de surveillance video : certificat périmé pour du matos de plus de 4 ans. Impossible d'utiliser un des navigateurs les plus répandus donc impossible de visualiser les enregistrements vidéos ! Le fournisseur de l'appareil n'a pas demandé la mise à jour du certifiact sur les anciens modèles qui ne sont plus en vente. Pendant ce temps, pour nos cartes CPS, c'est la sécu qui a la main pleine et entière et qui, jusqu'à preuve du contraire, prend ses responsabilités et gère correctement l'affaire depuis maintenant, disons, une dizaine d'années, nan ? Le problème de la révoquation des certificats numériques n'est pas nouveau, et tu oublies que cela concerne aussi les CPS avec des dates beaucoup beaucoup plus courtes (durée = 2 ans). Mon routeur Bewan (dont je suis super satisfait (technicien joignable facilement par tél pour paramétrer un VPN, ...) et que j'ai acheté en 2007 ou 2008) a un certificat numérique qui sera révoqué en 2015. Le tout est de le savoir. Je sais qu'à cette date, je n'aurai plus accés au VPN et peut-être aussi à l'administration du routeur (emmerdant pour faire du wake on lan). Il me faudra donc un nouveau certificat ou changer de matos avant cette échéance. Que fais-tu demain si la sécu ne t'envoie pas les renouvellements de tes cartes CPS ? Avec des cartes à puces, tu dépends, à la fois, du fabricant de puce (Gemalto ?), de les poste (grêve ?), et de la sécu. J'ai plus confiance en un certificat numérique que la sécu ou ta SSII peut t'envoyer par mail, et qui, je le repette, ont bien souvent une espérance de vie bien plus longue. | |
| | | Guilhem
Messages : 799 Date d'inscription : 10/08/2011 Age : 62 Localisation : Paris
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Mar 2 Oct 2012 - 11:05 | |
| - JP a écrit:
- [...]La puce des cartes à puce n'a jamais été prévue pour être sollicité aussi intensivement de l'aveu des installateurs LGPI[...]
Sincèrement, ils se f... de toi et cela ne métonne pas d'eux. Pour être en 1.4, j'ai racheté - hors matos fourni par la SSII - des lecteurs basiques-standards-de-base à 3 francs 6 sous qui n'ont jamais eu de pb avec aucune carte CPS ni avec aucune carte vitale d'ailleurs. Bien sûr, ce ne sont pas des lecteurs CB ni des lecteurs sans contact ni des qui font le café ni des qui lisent les cartes mutuelles cartons pendant que tu tailles la bavette avec le client fortuné qui va t'en laisser pour 300 biftons: tout se complique avec la multiplicité des fonctions. - JP a écrit:
- [...]Personnellement, je n'ai jamais rencontré de problème avec les certificats numériques.
Que ce soit avec les impots, ou avec les certificats du protocole https que tout à chacun utilise (sans le savoir bien souvent) tous les jours pour sécuriser ses achats sur internet.[...] Tant que tu ne rencontres aucun pb avec les certificats, fonce. C'est le jour où tu en rencontres un que tu n'es pas bien du tout du tout. L'avantage de nos cartes CPS, c'est que ça ne tombe pas en panne: ça marche ou ça marche pas dès le départ - à moins d'avoir des lecteurs ...... comment dire ....... Pour le htpps, personne n'avait anticipé - par exemple - que l'algorithme des CBs allait flancher donc maintenant, l'important, ce n'est plus https (certains sont revenu au http) mais ..... le téléphone portable. Sinon, pas de paiement! - JP a écrit:
- [...]Tu as rencontré des problèmes avec quels certificats ?[...]
Ma banque pour accéder à certaines fonctions en ligne: galère pour solutionner car tout le monde se renvoie la balle jusqu'à ce qu'un des fournisseurs émette l'hypothèse que c'est un problème entre la chaise et le clavier, c'est à dire .... toi! C'était un pb de paramètres chez le conseiller de la banque. Serveur de surveillance video : certificat périmé pour du matos de plus de 4 ans. Impossible d'utiliser un des navigateurs les plus répandus donc impossible de visualiser les enregistrements vidéos ! Le fournisseur de l'appareil n'a pas demandé la mise à jour du certifiact sur les anciens modèles qui ne sont plus en vente. Pendant ce temps, pour nos cartes CPS, c'est la sécu qui a la main pleine et entière et qui, jusqu'à preuve du contraire, prend ses responsabilités et gère correctement l'affaire depuis maintenant, disons, une dizaine d'années, nan ? | |
| | | JP
Messages : 217 Date d'inscription : 12/03/2012 Localisation : quelquepart
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Mar 2 Oct 2012 - 10:00 | |
| Ah ? J'étais persuadé du contraire. J'ai beaucoup de problème de fiabilité avec les CPS dans ma pharmacie. Il nous faut extraire la carte, la frotter sur une blouse, la réintroduire, retaper le code ... pff ... usant. La puce des cartes à puce n'a jamais été prévue pour être sollicité aussi intensivement de l'aveu des installateurs LGPI Personnellement, je n'ai jamais rencontré de problème avec les certificats numériques. Que ce soit avec les impots, ou avec les certificats du protocole https que tout à chacun utilise (sans le savoir bien souvent) tous les jours pour sécuriser ses achats sur internet. Tu as rencontré des problèmes avec quels certificats ? - Guilhem a écrit:
- JP a écrit:
- [...]A ce sujet, je milite pour la disparition de la CPS au profit d'un certificat numérique fourni par la caisse. C'est autrement plus fiable et plus rapide car nos CPS n'ont jamais été prévue pour un usage aussi intensifs (Sécu, mais aussi et surtout maintenant DP et mutuelle).[...]
Oulàààà non JP. Surtout pas de certificat numérique.
Un certificat est idéal tant qu'il fonctionne correctement et que sa mise à jour se fait dans des conditions optimums. Dès qu'un problème technique survient, il peut être révoqué. La difficulté, c'est que les effets de bord sont nombreux en informatique donc l'origine de la révocation peut avoir de multiples raisons et la résolution peut nécessité l'intervention de différents acteurs (responsable matériel, système d'exploitation, SSII, sécu etc.). Pour en avoir fait l'expérience, cela se compte en semaines (en jours dasn le meilleur des cas). Pendant ce temps, tu factures et tu télétransmets comment ? La carte CPS, ça fonctionne ou pas; et si ça fonctionne, ça reste le plus fiable.
Quant au décret sur les Ruptures d'approvisionnement, pas sûr que cela puisse nous aider en pratique, voire nous faire subir des effets inverses... | |
| | | Guilhem
Messages : 799 Date d'inscription : 10/08/2011 Age : 62 Localisation : Paris
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Mar 2 Oct 2012 - 5:10 | |
| - JP a écrit:
- [...]A ce sujet, je milite pour la disparition de la CPS au profit d'un certificat numérique fourni par la caisse. C'est autrement plus fiable et plus rapide car nos CPS n'ont jamais été prévue pour un usage aussi intensifs (Sécu, mais aussi et surtout maintenant DP et mutuelle).[...]
Oulàààà non JP. Surtout pas de certificat numérique. Un certificat est idéal tant qu'il fonctionne correctement et que sa mise à jour se fait dans des conditions optimums. Dès qu'un problème technique survient, il peut être révoqué. La difficulté, c'est que les effets de bord sont nombreux en informatique donc l'origine de la révocation peut avoir de multiples raisons et la résolution peut nécessité l'intervention de différents acteurs (responsable matériel, système d'exploitation, SSII, sécu etc.). Pour en avoir fait l'expérience, cela se compte en semaines (en jours dasn le meilleur des cas). Pendant ce temps, tu factures et tu télétransmets comment ? La carte CPS, ça fonctionne ou pas; et si ça fonctionne, ça reste le plus fiable. Quant au décret sur les Ruptures d'approvisionnement, pas sûr que cela puisse nous aider en pratique, voire nous faire subir des effets inverses... | |
| | | rdufourcq
Messages : 398 Date d'inscription : 10/08/2011 Localisation : Clichy
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Lun 1 Oct 2012 - 18:35 | |
| - JP a écrit:
- Franchement, entre nous, tu pensais sincérement que ce ne serait pas une usine à gaz ?
Oh si, mais je n'en attendais pas une si belle, avec cheminée chromée, double échappement libre à droite, pot à détente multicompression à gauche... Rémi | |
| | | JP
Messages : 217 Date d'inscription : 12/03/2012 Localisation : quelquepart
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Lun 1 Oct 2012 - 18:27 | |
| Franchement, entre nous, tu pensais sincérement que ce ne serait pas une usine à gaz ? Il suffit par exemple de regarder la loi et les modalités pratiques qui nous permettent d'avancer et de facturer une boite à un patient : la loi nous demande de prévenir le médecin de cette avance. Bien sur, c'est gratis. Chez nous, on fait comme avant. Il y a aussi les produits prescrits par les infirmiers et les pédicure podologues avec des rejets de dossiers si un produit, à priori anodin comme une bande, de la biseptine, ou des bandelettes pour glycémie, n'appartient pas à la liste. Et je passe sur les fiches de déclarations de pharmacovigilance, et sur la version 1.4 de Sésam Vitale avec mise à jour annuelle obligatoire de la carte, et lecture CPS obligatoire même pour un dossier dégradé (faite gaffe si, comme moi, vous recyclez vos rejets en back office ou à la maison). Je passe sur le TP mutuelle TP3G Clerys dont les serveurs plantent ou saturent régulièrement. A ce sujet, je milite pour la disparition de la CPS au profit d'un certificat numérique fourni par la caisse. C'est autrement plus fiable et plus rapide car nos CPS n'ont jamais été prévue pour un usage aussi intensifs (Sécu, mais aussi et surtout maintenant DP et mutuelle). Vive la France. - rdufourcq a écrit:
- Bonjour,
Usine à gaz spotted !! La rupture n'existe que quand elle est objectivée par l'impossibilité au dernier maillon de la chaine d’approvisionnement de fournir en 72 h un médicament à un patient. Un centre d'appel nous dépêchera ses men in black pour sauver le pauvre pharmacien. Et il faudra informer (par quel moyen, dans quel délai et à quelle fréquence) l'ARS. Et tout ce travail supplémentaire sans aucune rémunération supplémentaire, bien évidement. Au mois de juin, je passais une heure par jour à gérer les ruptures de stock. Au taux horaire d'un pharmacien, la rémunération était mangée. Rémi | |
| | | rdufourcq
Messages : 398 Date d'inscription : 10/08/2011 Localisation : Clichy
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Lun 1 Oct 2012 - 17:43 | |
| Bonjour,
Usine à gaz spotted !!
La rupture n'existe que quand elle est objectivée par l'impossibilité au dernier maillon de la chaine d’approvisionnement de fournir en 72 h un médicament à un patient. Un centre d'appel nous dépêchera ses men in black pour sauver le pauvre pharmacien. Et il faudra informer (par quel moyen, dans quel délai et à quelle fréquence) l'ARS.
Et tout ce travail supplémentaire sans aucune rémunération supplémentaire, bien évidement. Au mois de juin, je passais une heure par jour à gérer les ruptures de stock. Au taux horaire d'un pharmacien, la rémunération était mangée.
Rémi | |
| | | fangio
Messages : 58 Date d'inscription : 20/08/2011
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Lun 1 Oct 2012 - 14:10 | |
| Ruptures d'approvisionnement : le décret a paru au JO 01/10/2012 Le Journal officiel a publié, dimanche 30 septembre, le décret relatif à l'approvisionnement en médicaments à usage humain, afin de prévenir les ruptures. Celles-ci sont définies, dans le texte, comme " l'incapacité pour une pharmacie d'officine ou une pharmacie à usage intérieur définie à l'article L.5126-1 de dispenser un médicament à un patient dans un délai de 72 heures ". Le décret prévoit la mise en place de centres d'appel d'urgence pour le signalement des ruptures par les pharmaciens et les grossistes-répartiteurs. En cas de recours à ces centres d'appel, le pharmacien doit en informer l'Agence régionale de santé. " Ces centres sont organisés de manière à prendre en charge à tout moment les ruptures d'approvisionnement qui concernent les médicaments et à permettre la dispensation effective de la spécialité manquante. Cette prise en charge se fait en cas de rupture effective ou de manière anticipée lorsque la rupture est confirmée par le grossiste-répartiteur ou le dépositaire ", précise le décret. C'est l'ANSM qui est chargé d'informer les professionnels de santé des ruptures d'approvisionnement effectives ou anticipées et précise, s'il y a lieu, les recommandations éventuelles pour gérer cette pénurie.
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| | | collard
Messages : 112 Date d'inscription : 31/03/2011
| Sujet: Re: ruptures approvisionnements Lun 13 Aoû 2012 - 15:22 | |
| Pénurie de médicaments : focus sur le Loir-et-Cher
Publié le 13/08/2012
En France, les ruptures de stocks de médicaments ne cesse de s’accroître. D’après l'USPO, entre 160 et 370 médicaments sont régulièrement indisponibles sur les 5 300 commercialisés. Le taux de rupture chez les grossistes serait passé de 0,7 jour par mois par produit à près de 1,3 aujourd’hui.
Ces difficultés d'approvisionnement ont des causes variées. Depuis le début des années 90, les firmes pharmaceutiques ont largement délocalisé leurs productions et étendu leurs activités à l'international. La nécessité d’investir toujours plus pour innover, la moindre rentabilité des médicaments génériqués et la pression des pouvoirs publics sur la réduction des dépenses de santé ont accentué les effets de la mondialisation. Les laboratoires français qui ne sous-traitent pas une partie de leur production auprès de fournisseurs extérieurs sont devenus rares. On estime ainsi que 80 % des principes actifs utilisés en Europe et aux États-Unis proviennent de l'étranger. La Chine contrôle à elle seule 40 à 50 % des principes actifs des médicaments génériques distribués sur le marché européen. À ces difficultés de production s’ajoutent les complications liées au système de quotas mis en par place par le secteur pharmaceutique. Six cents médicaments commercialisés en France feraient l’objet d’un contingentement organisé par les laboratoires, une situation dénoncée l’an passée par le précédent ministre de la Santé, Xavier Bertrand, qui avait alors annoncé son intention de légiférer sur la question.
Dans un récent article, La Nouvelle République se penche sur les ruptures de stocks observées dans le Loir-et-Cher. « On ne peut pas dire qu'on soit en flux tendu mais il manque beaucoup de médicaments. En ce moment, on a une grosse liste de produits manquants, depuis et encore pour longtemps », indique Denis Brançon, président du Syndicat des pharmaciens pour le département. Cette pénurie oblige à opter pour des traitements alternatifs, parfois moins efficaces, générateurs d'effets secondaires, de risques et de coûts supplémentaires. Lorsque cela est possible, le pharmacien oriente le patient vers des versions génériques ou contacte le médecin pour convenir d'un changement de classe thérapeutique. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé recense chaque jour sur son site Internet les produits exposés aux difficultés d'approvisionnement et émet des recommandations aux professionnels de la santé pour les aider à trouver des solutions de remplacement. Mais certains médicaments n’ont pas de formule générique et posent particulièrement problème. Le journal cite notamment le cas d’un traitement anti-épileptique de première importance qui n'est plus fabriqué depuis avril suite à la décision de suspendre l’activité d’un laboratoire du département.» Dans ces cas précis, reste la possibilité de se tourner vers la pharmacie hospitalière grâce à une ordonnance établie à cet effet ou l'envoi du patient par l'officine. Elle est alors la seule à pouvoir délivrer des spécialités équivalentes importées d'autres marchés européens par le biais d'autorisation temporaire d'utilisation donnée par l'ANSM » précise La Nouvelle République.
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| | | collard
Messages : 112 Date d'inscription : 31/03/2011
| Sujet: ruptures approvisionnements Lun 13 Fév 2012 - 14:05 | |
| Rupture d’approvisionnement : la CSRP dénonce le projet de décret Un projet de décret est actuellement à l’étude pour résoudre le problème des ruptures d’approvisionnement des officines en médicaments. La Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique s’insurge contre ce texte qui « durcit les obligations pesant sur les répartiteurs ». Bien consciente de la nécessité de garantir aux patients l’accès à leur traitement, la CSRP estime que les pouvoirs publics ont une vision erronée de la cause de ces ruptures et que les solutions qu’ils proposent ne résoudraient en rien le problème. En effet, le projet de décret prévoit d’interdire, aux grossistes répartiteurs, l’exportation de médicaments, ce qui est contraire au droit européen. La CSRP estime que cette interdiction généralisée est disproportionnée dans la mesure où les ruptures d’approvisionnement ne concernent que certains produits. Par ailleurs, le syndicat constate, dans le texte à l’étude, qu’en cas de rupture d’approvisionnement, une pharmacie se fasse directement livrée par le laboratoire dans les 72 heures. Or, comment comprendre que le laboratoire dispose du produit alors que le grossiste n’en a pas ? Le projet de décret renforce également les contraintes des répartiteurs lors des astreintes. En effet, ces derniers devraient livrer un produit 4 heures le week-end, alors qu’ils le font en 24 heures en semaine. Comment y parvenir ? Enfin, la CSRP dénonce une inégalité de traitement entre les différents circuits de distribution. Elle estime en effet que « tout opérateur qui perçoit cette marge de distribution (ndlr : en gros) doit être soumis aux mêmes contraintes. A défaut, il se crée une inégalité de traitement injustifiée et contestable au regard de la concurrence. » Face aux nombreuses mesures sujettes à contestation de ce projet de décret, la CSRP souhaite que le texte soit revu et demande au gouvernement « de s’attacher à la bonne mise en œuvre du mécanisme de régulation des exportations qu’il a, lui-même, introduit à l’article 45 de la loi médicament ». Pour Gilles BONNEFOND, président de l’USPO, qui se bat depuis près d’un an et demi contre ces ruptures d’approvisionnement, ce projet est une satisfaction. « Il a pour but de renforcer les obligations des grossistes-répartiteurs et des laboratoires en termes d’approvisionnement continu. » Par ailleurs, il souhaite que les grossistes arrêtent de faire payer des frais de livraison aux pharmaciens car ces frais sont normalement compris dans leur marge. Ce texte doit également permettre à un grossiste qui s’installe dans une zone déterminée, de signaler, aux pharmaciens hospitaliers et libéraux, toute rupture de stock supérieure à entre 48 et 72 heures à l’Agence du médicament et de mettre en place des centres de dépannage à l’initiative des laboratoires pour pouvoir dépanner des pharmaciens quand il y a une rupture de stock. Source : CSRP, 13 février 2012
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