rdufourcq
Messages : 398 Date d'inscription : 10/08/2011 Localisation : Clichy
| Sujet: Re: Les experts sont divisés sur l'e.cigarette Mar 20 Nov 2012 - 18:37 | |
| Bonjour,
J'ai eu des cigarettes électroniques pendant environ 6 mois. J'utilisais celles de Visiomed, modèle jetable avec et sans nicotine. Ce sont celles sans nicotine qui sont le mieux parties, essentiellement parceque c'étaient celles que je conseillais. J'en ai vendu 24 unités, dont 12 sans nicotine. Je demandais à chaque client de me donner un retour sur leur usage car, faute d'études validant l'utilisation, j'étais dans le doute sur leur intérêt. nombreux sont ceux qui m'ont promis de le faire.
Au final, seulement 2 clients n'ont fait un retour, retour satisfaisant.
Faute d'un nombre suffisant, j'ai donc arrêté la vente. Je remarque d'ailleurs avoir beaucoup moins de demandes spontanées qu'avant.
Rémi | |
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Guilhem
Messages : 799 Date d'inscription : 10/08/2011 Age : 62 Localisation : Paris
| Sujet: "Cigarette électronique : sortir du no man's land" selon egora.fr Mar 20 Nov 2012 - 16:16 | |
| http://www.egora.fr/actus-medicales/154721-cigarette-%C3%A9lectronique-sortir-du-no-man%E2%80%99s-land"ADDICTOLOGIE par Evelyne Delicourt le 14-11-2012 Source : 6e congrès national de la Société Française de Tabacologie Médicament ou nouveau produit du tabac ? En vente chez les buralistes et également en pharmacie, la e.cigarette brouille les pistes avec des ventes qui s'envolent : les fabricants annoncent que 2 millions de Français ont essayé en 2012 la cigarette électronique. L'utilisation de ce produit est restée confidentielle à son apparition entre 2006 à 2011, mais les ventes ont explosé entre 2011 et 2012. Sur 10 adultes consommateurs en 2012, cinq l?ont pris pour la première fois cette année, 4 en 2011 et 1 avant. Une autre étude a montré que ce produit est maintenant expérimenté par un nombre significatif de jeunes et que les trois quarts des 12-15 ans qui déclarent avoir essayé la cigarette électronique n'avaient jamais essayé les cigarette classiques. Ce produit pourrait devenir une porte d?entrée en tabagisme, ce qui suscitent l?inquiétude des tabacologues, d?autant que les prix ont baissé fortement, passant de 60-100 euros pour une ancienne e.cigarette réutilisable à 6-10 euros pour une cigarette électronique jetable. Réunis à Paris les 8 et 9 novembre, lors du 6e congrès national de la Société française de tabacologie, de nombreux spécialistes, qui soulignent être incessamment sollicités à propos de ce produit, ne demandent pas son interdiction mais demandent que son statut soit clairement défini par les autorités de santé, qu'elle fasse l'objet d'études de la part de fabricants s'ils veulent revendiquer un statut bénéfique, à la santé, qu'elle soit enregistrée avec une autorisation de mise sur le marché si elle est considérée comme un produit de santé ou qu'elle soit réglementée comme un produit du tabac, mais ne reste pas dans le no man's land actuel. Aucune cigarette électronique n'a reçu d'autorisation de mise sur le marché en tant que médicament, produits de santé, aucun fabricant n'ayant déposé de demande en ce sens a rappelé l'Ansm (abstract P2a). Elles ne devraient en aucun cas être vendues en pharmacie car elles ne figurent pas sur la liste des produits dont la délivrance y est autorisée. Les e.électroniques sont censées introduire des xénobiotiques dans l'organisme mais en l'absence de réglementation, les études standards, obligatoires pour les édicaments, ne peuvent pas être exigées et donc ne sont pas faites par les fabricants. Comme pour la cigarette classique, consommer des cigarettes électroniques peut induire une dépendance, quelle que soit la quantité de nicotine présente. Compte tenu de ces éléments et de l'absence de données sur le rapport bénéfice/risque des cigarettes électroniques, l'ANSM recommande de ne pas consommer ces produits. Malgré ces réglementations, plus du tiers des pharmacies parisiennes vendent des cigarettes électroniques selon une étude présentée au congrès (J.-M. Gras, abstract P12f). Un essai randomisé a suggéré que les e-cigarettes aident les fumeurs à cesser de fumer. Selon J.-F. Etter (Genève), « les cliniciens devraient informer les utilisateurs (les vapoteurs) de la rareté des études sur la sécurité et l'efficacité de ces produits, mais ils devraient aussi leur indiquer que les risques du vapotage sont plus faibles que les risques du tabagisme » (abstract P2b). " --------------------------- - Citation :
- [...]Malgré ces réglementations, plus du tiers des pharmacies parisiennes vendent des cigarettes électroniques selon une étude présentée au congrès (J.-M. Gras, abstract P12f)[...]
Bon ben comme d'hab : pas chez moi !... | |
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florence
Messages : 104 Date d'inscription : 24/02/2011
| Sujet: Les experts sont divisés sur l'e.cigarette Jeu 8 Nov 2012 - 9:52 | |
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| Sujet: Re: Les experts sont divisés sur l'e.cigarette | |
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