Zut, tu es tombé sur une de mes annonces
Trève de plaisanterie, rien ne s'offre dans la vie, les 15 à 34% du capital sont des obligations convertibles que tu dois rembourser quand tu t'en vas.
Le taux des obligations est prohibitif et vient plomber ton résultat, autant te dire que la prime de résultat est hypothéquée.
Après 3 ans ou plus, tu es coincé, tu leur dois les 15 à 34% du capital + les intérêts.
Au passage, les obligations convertibles ont été " légalisées " par l'ordre qui a laissé faire le groupe Gallien puis par publicité interposée Univers Pharmacies et qui ne dit mot consent.
C'est une ouverture déguisée du capital car l'argent appartient à des investisseurs et non à des pharmaciens, ils tentent de faire des chaines.
Je tiens à préciser que je ne suis pas complètement opposé aux SELAS, pour un jeune qui a peu d'apport et aidé par un un pharmacien investisseur qui prends 25% du capital d'une officine de 6M d'euros avec rachat progressif des parts et une rémunération décente, comme aurait dit feu Jean Luc Delarue, ça se discute.
Il faut par contre que le dispositif de rachat des parts et les modalités soit écrit noir sur blanc dès le départ.
Un peu plus complexe, les SELAS ou un jeune détient 5% du capital de la pharmacie et au moins 46% par le biais de sa holding ont un intérêt évident, particulièrement dans le cadre du rachat d'une officine à l'IS, il détiendrait au moins 51% du capital.
Le pourquoi du comment est un peu long à expliquer.