Smartphone

Entièrement d'accord avec toi remi : je suis allé un peu loin dans le raisonnement en excluant une partie des états intermédiaires où nous sommes dans la réalité actuelle.

De plus, il est vrai que nous nous écartons de plus en plus de l'image de commerce pour intégrer une image qui tend vers le médical quoique ce ne soit pas une voie facile ni ardemment désirée - elle a moins le mérite de formaliser la valeur ajoutée côté santé que nous n'arrivons pas mettre en avant aujourd'hui.

Tu as parfaitement raison de présenter un choix au niveau de la profession et non au niveau individuel ou petit groupe : il y a déjà assez de déviance comme cela (je parle pour Paris et c'est peut-être spécifique mais c'est criant). Et ce choix doit être rapidement fait après débat en interne. Je ne suis pas sûr d'ailleurs que nos représentants syndicaux soient sensibles à ces aspects au vu des priorités de l'actualité, encore moins nos représentants ordinaux.

Bonjour,

La diminution de l'utilisation du web sur les smartphones n'a pas qu'une seule cause. Il y a le formatage publicitaire qui conditionne l'utilisateur à utiliser une appli spécifique pour chaque action ("...il y a une application pour cela, aussi ..." dit la pub des iBidules). Mais il y a aussi la mauvaise ergonomie des sites web "normaux" quand on les utilise avec un smartphone. De plus en plus d'écran d'ordi sont en format paysage tandis que les smartphones s'utilisent plutôt en mode portrait, sans parler de la taille...

L'équation de Nef concernant le référencement n'est pas aussi implacable, je m'explique. L'auteur d'une appli ne paye rien au store où il dépose son appli. A chaque téléchargement de la dite appli, le store prélève une commission (30% pour la pomme, j'ai oublié pour Androïd). Soit l'appli est payante et il y a donc rémunération du store après achat, soit elle est gratuite et il n'y a pas rémunération à ce stade. L'auteur peut aussi choisir un mode de distribution gratuite sponsorisée : Certains store imposent alors de recourir exclusivement à la régie publicitaire adossée à ce store. Dans ce cas, la rémunération du store se fait là encore par prélèvement d'une com.

Il n'y a donc pas d'obligation pour une pharmacie à payer pour être référencée dans une appli. C'est le choix commercial de l'éditeur/auteur de le demander ou non.

Nos officines sont, pour un temps encore, perçues comme faisant partie du service public de la santé, et donc le plus souvent présentes par défaut dans les divers portefeuille des régies de référencement. Prenons garde de ne pas trop vouloir mettre le doigt dans cet engrenage, car il pourrait conduire à faire perdre ce "statu préférentiel" et conduire les régies à considérer les officines comme de simples commerces.

Nous sommes responsables de l'image que nous donnons de nous. A trop vouloir optimiser notre visibilité nous risquons de basculer dans une autre catégorie mentale chez nos prestataires et nos clients. Il faut en avoir conscience car le retour en arrière sera quasiment impossible.

C'est une question de choix : Comment voulons nous être perçus ?
Devons nous choisir au niveau de la profession, ou chacun part-il seul de son côté?
Devons nous anticiper une évolution que nous sentons inéluctable (mode pro-actif) ou attendre que d'autres secteurs de la distribution imposent une autre image (j'allais dire écornent notre image, mais j'ai corrigé pour rester le plus neutre possible) qu'il nous faudra tenter de corriger (mode réactif) ?

Je n'ai pas de réponse à imposer (même si j'ai mon opinion) mais il me semble important que la profession saisisse les enjeux pour que le débat interne s'amorce très vite. Dans le monde de la tech, le pendule bat bien plus vite qu'ailleurs.

Rémi

jyt a écrit:

J'ai un ami sérieux qui a crée sa boite et développe des applications, souhaites tu que je te mette en contact avec lui pour un devis ?
Nous avons des budgets.

Tu pourrais alors a minima travailler avec Julien, un de nos administrateurs, car j'avoue ne pas avoir les compétences techniques en la matière.

Si c'est pour oeuvrer pour le groupe, oui.

jyt a écrit:

Je suis très impressionne aussi par la façon dont les réseaux sociaux détrônent le net aux US et je n'exclue pas que ça nous pende au nez.

Oui, c'est vrai mais il faut prendre en compte une notion culturelle importante aux US : la communauté américaine est basée sur le "trust", c'est à dire que l'on peut tout dire à partir du moment où c'est la vérité. Les réseaux sociaux ayant une audience énorme du fait de facteurs spécifiques aux US (mais ce n'est pas le débat), tout ce qui est dit (et rapidement diffusé) est considéré comme vrai et sert de base à d'autres dires etc. De plus, toutes les couches de la société sont actives sur ces réseaux (ce n'est pas réservé à certaines castes, tranches d'âges ou communautés).

Ces 2 facteurs réunis, font que l'influence est grande mais ce courant est sans doute à transposer en europe et non à répliquer. Il faut noter que, depuis plus d'une trentaine d'années, tout ce qui touche aux USA en matière de parole ou de données personnelles a toujours été isolé et filtré par l'Europe car la liberté d'expression là-bas est plus une diarrhée verbale qu'une pensée, un échange ou une réflexion équilibrée. La méfiance concernant les échanges de données plus ou moins personnelles de type réseaux sociaux est culturellement beaucoup plus ancrée en Europe, voire une question de propriété inaliénable pour les informations personnelles comme c'est le cas aux pays-bas.

Et l'exemple inverse est tout à fait applicable en Europe : diffuser l'information de la mort de Truc-Bidule (il y a plusieurs exemples rescents) est condamnable mais rarement effectivement condamné car étant méfiants, les européens font la part des choses et ne s'en offusquent pas. Aux USA, c'est la prison direct pour n'avoir pas respecter le ...ème amendement de la constitution des états-unis à propos de la vérité (je ne me souviens plus des termes exacts); il faut dire aussi que le vulgum pecus est formaté très différemment de nous...

Appliqué en Europe, ce courant influencera la société mais dans des proportions probablement moindres grâce ou à cause des fake, pirates et autres faussaires du web et des réseaux sociaux qui rencontrent beaucoup plus de tolérance pour leurs méfaits qu'aux US. Chaque modèle de société a ses avantages et ses inconvénients...

J'ai un ami sérieux qui a crée sa boite et développe des applications, souhaites tu que je te mette en contact avec lui pour un devis ?
Nous avons des budgets.

Tu pourrais alors a minima travailler avec Julien, un de nos administrateurs, car j'avoue ne pas avoir les compétences techniques en la matière.

Je suis très impressionne aussi par la façon dont les réseaux sociaux détrônent le net aux US et je n'exclue pas que ça nous pende au nez.

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Par Marie-Catherine Beuth
Publié le 19/08/2011 à 22:34 sue wwwlefigaro.fr

"Peu à peu, les applications ferment l'accès au Web

C'est un retour au pratiques des premières heures du Web.

Le magazine américain Wired avait signé l'arrêt de mort du Web dès septembre 2010. «The Web is dead», avait titré la bible high-tech en une. Provocante, l'assertion visait à signaler la fin de l'exploration du Net par un navigateur (Firefox, Safari, Internet Explorer…) au profit d'une consommation de contenus numériques par les applications mobiles, depuis un smartphone ou une tablette multimédia.

Aux États-Unis, la consultation d'applications mobiles l'emporte déjà très largement (67%) sur l'accès à des sites mobiles (33%) dans le cœur des utilisateurs de smartphones Android, a révélé une étude publiée vendredi par l'institut Nielsen. Les applications dominent tous les autres usages du smartphone, représentant 56% de l'activité sur un terminal mobile, contre 19% pour les courriels, 15% pour les appels téléphoniques et… 9% consacrés au navigateur Web.

Cette évolution est lourde de conséquences pour les éditeurs de contenus. Ces derniers deviennent en effet dépendants des conditions imposées par les gardiens de ces écosystèmes intégrés, définissant les règles, du terminal à la plate-forme de téléchargement en passant par le système d'exploitation. Apple, avec son iOS et ses terminaux iPad ou iPhone, en est l'incarnation la plus évidente. La firme à la pomme a fait le choix d'abandonner le format Flash au profit du HTML5 - rendant illi­sibles nombre d'animations et vidéos sur Internet - et impose ses conditions de rémunération (30%) aux éditeurs de contenus qui vendent applications ou abonnements depuis sa plate-forme.

La «surf neutralité»

Google, avec Motorola, a désormais les moyens de reproduire ce modèle d'intégration verticale. Il rappelle les «walled garden» ­(jardins clos) érigés dans les premières heures du Web par des ­sociétés comme AOL et CompuServe. Ces fournisseurs d'accès proposaient à leurs abonnés une sélection de contenus proposés pardes partenaires, avant de faire peu à peu tomber les barrières et de s'ouvrir largement au Web mondial.

Le retour de cette logique fermée pourrait pousser les régulateurs à s'interroger sur certaines pratiques. Il arrive ainsi qu'un mobinaute qui cherche à consulter un site Web sur l'iPad, en passant par le navigateur Safari, s'en voie interdire l'accès et soit renvoyé automatiquement vers l'application mobile du site en question sur l'App Store. Des pratiques qui semblent entraver la liberté de surfer. La «surf neutralité» pourrait ainsi être la nouvelle frontière à défendre après la «Search neutralité» et la Net neutralité."

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La compréhension de cette article doit conduire à imaginer un utilisateur (américain car c'est tiré de données US - ce qui n'est pas forément transposable en Europe) utilisant son smartphone : il utilise plus facilement des applications qui le guident que surfer en toute liberté.

Pour notre métier, cela veut dire, par exemple, qu'il utilisera une appli pour trouver une pharmacie dans le quartier où il se trouve; les pharmacies ayant payé un référencement pour être présentes dans l'appli apparaitront; les autres non. Idem s'il cherche un produit au meilleur prix.
Traduit différemment, si une pharmacie veut être très visible sur smartphone, elle ne doit pas se contenter d'adapter son site; elle doit être référencée dans les applis. Et le créateur de l'appli fera payer ce référencement puisque lui-même doit payer pour être présent sur la plateforme (appstore, par exemple).

L'une des manières de contrer cet aspect est de créer soi-même un appli qui référence gratuitement ... toutes les pharmacies ! C'est déjà le cas pour beaucoup de sites de référencementsur le web; ces sites se rémunèrent sur la pub visible lors de la visite de l'internaute et sur l'achat de données plus détaillées.

On verra dans un proche avenir comment évoluera la partie sur smartphone mais tout se paie dans les modes des technologies, jusqu'à ce qu'elles tombent en désuétude du fait d'abus. Et le premier abus, c'est l'absence de neutralité.

Effectivement Sanofi mise sur l'iPhone. Ils ont mis au point un petit module glucomètre qui se branche sur l'iPhone. Et avec l'appli FamiliVac, on sélectionne la personne et on enregistre la glycémie. Il me semble que c'est déjà commercialisé.

J'ai quand même quelques questions vis à vis de ces applis de santé qui collectent et gardent toutes les infos santé de toute la famille.
Jusqu'à présent, nous avons fait comment pour que la famille survive sans iPhone ?
Les diabétiques ont fait comment sans iPhone pour savoir combien s'injecter d'insuline ?
Combien de fois avons-nous eu besoin de se souvenir de la vaccination du petit : une fois, deux fois dans sa vie ? Et si on ne souvenait pas, qu'est-il arrivé ? Le petit est devenu subitement malade parce que ce n'était pas écrit dans l'iPhone-dernière-version-changé-tous-les-ans ?

Les multiples possibilités de ces machines ne doivent pas faire oublier le peu de bon sens qui nous reste face à ces modes.
.

Difficile de prévoir l'avenir du smartphone et difficile de s'y retrouver au milieu de toutes ces applications dévellopées.
En voici une nouvelle :

Familivac, une application santé par Sanofi Pasteur MSD
Le laboratoire Sanofi Pasteur MSD a lancé au cours de l’été une application iPhone permettant de conserver toute la mémoire santé de sa famille sur son mobile : FamiliVac. Présentation.

Disponible gratuitement dans l’Apple store, cette application FamiliVac vous informe sur les vaccinations recommandées (sur la base du calendrier vaccinal publié par l’InVs) pour vous-même ou pour un membre de votre famille. Elle permet également de stocker toutes les informations santé de la famille : allergies, antécédents, maladies infantiles…


Plusieurs fonctionnalités sont proposées dans cette application :

■accès à des informations sur les maladies à prévention vaccinale ainsi que sur les recommandations vaccinales françaises en vigueur.
■un système d’alerte et de relances pour être informé lorsqu’une vaccination est recommandée permettant d’être à jour.
■un espace de stockage des données santé de toute la famille : groupe sanguin, allergies, maladies infantiles, maladies chroniques, IMC (Indice de Masse Corporelle), vaccinations réalisées, n° Sécurité Sociale.
■un service de prise de RDV avec son médecin à l’aide d’un système de clic to call permettant de téléphoner directement à son médecin depuis l’application.

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La remarque quant à l'exemple de cette application pour l'utilisation de smartphones est judicieuse. Mais ce n'est pas tant la question d'un bon exemple pour montrer les changements que la question d'accompagner ces changements.

N'est-ce pas antinommmique que de parler de service pour fidéliser (rétention n'est-il pas un mot un peu fort ?) en un lieu donné quand on parle d'hypermobilité proposant des services (preque) à l'infini, partout et n'importe quand ?
Sincèrement je crois de moins en moins à la fidélité d'un patient pour son pharmacien, en tout cas pour les quintas et papyboomers. Pas plus que je ne crois à la fidélité d'un client pour la GMS du coin : le consommateur a été formaté à trouver dans les hyper-supermarchés ce qu'il cherche à prix bas mais comme de plus en plus, en pratique, il ne trouve plus ni prix bas, ni produit recherché, il cherche ailleurs. Et quel meilleur outil peut-il trouver que la 3G et l'hypermobilité pour aller picorer là où le dieu comparateur-du-web va lui dire d'aller..

Le consommateur de santé continuera de venir chez nous pour y trouver ce qu'il cherche : du conseil et du service pour les uns, du prix pour les autres. Le jour où il n'y aura plus ce qu'il cherche, il ira instantanément voir ailleurs grâce à l'hypermobilité. Je pense donc que ces smartphones sont plutôt une menace qu'il faut transformer en opportunité en nous montrant présent pour les informer que, d'abord, nous savons leur proposer des services, des produits et des prix, et qu'ensuite, nous proposons ce qu'ils cherchent, tout simplement!

Faisons donc bien ce que nous savons faire: fournir des médicaments, des compléments, du matériel ou des cosmétiques en 24h (voire 48 ou 72h - peu importe - quand la GMS a de moins en moins de choix et quand le web ment effrontément en parlant de produit en stock disponible en 48h mais qui est reçu après 2 ou 3 semaines voire des mois...), conseiller sur le médicament, identifier les manques d'observance ou les problèmes potentiels, proposer le bon produit au bon client au bon moment. Mais surtout, surtout, il faut le faire savoir, savoir le dire et que cela rentre dans la zone d'écoute du patient/client.

La GMS a formaté ses clients à coup de pub télé, pub journeaux et prospectus, ce que nous savons pas bien faire, ce que nous ne pouvons pas faire pour les médicaments mais, surtout, ce que nous ne pouvons pas nous payer au vu des budgets pub (P H R et consor ont essayé mais la note est salée...) !!! Demain, l'hypermobilité va nous permettre d'être mieux présents : à nous de nous appuyer sur la diversification des moyens de communication pour aller jouer dans la cour des miracles en faisant jeu égal avec les autres, ce qui n'est pas du tout le cas actuellement.

Et demain, c'est aujourd'hui.

jyt a écrit:

Testez votre vue sur iPhone
Essilor, le spécialiste de l'optique ophtalmologique, lance en France l'application " Testez votre vue ", qui permettra à tous les utilisateurs d'iPhone ou de iPod de mettre sa vue à l'épreuve. Cette application ludique comporte quatre tests de vue, inspirés de ceux utilisés par les ophtalmologistes, et des questions sur les habitudes quotidiennes de l'utilisateur. Sans remplacer un rendez-vous professionnel, l'application permet de faire un état des lieux de sa vue, avant de prendre un éventuel rendez-vous.

Bonjour,

Désolé, mais cela ne me semble pas le bon exemple pour juger de la façon dont nos clients utiliseront sur le long terme leurs smartphones. Je crains qu'il n'y ait un côté amusement dans cette appli qui s'usera très vite. Il faut se méfier des conclusions qui sous entendent qu'un téléchargement égale une utilisation régulière. Certes, pour utiliser régulièrement il faut télécharger. Mais combien de téléchargements génèreront des utilisateurs réguliers ?

Autant il est facile de compter les téléchargement, autant une appli qui fonctionne off line (ce que je crois qu'est cette appli) ne donne aucun renseignement sur la rétention.

Ce que nous voulons c'est offrir du service pour fidéliser, donc avoir de la rétention. On est au début de l'ére de l'hypermobilité. Les usages de ces nouvelles technologies mettent bien plus de temps qu'on le pense à se diffuser et à imprégner les utilisateurs. Je suis (folow) sur Twitter un blogger qui travaille dans un cyber café. Il raconte régulièrement que des clients lui demandent de photocopier avant envoi un fax pour en garder une copie. "Non, monsieur, votre courrier ne vas pas disparaitre et se téléporter chez votre destinataire, vous repartirez avec, et c'est une copie qui arrivera chez lui". Cela fait 20 ans que le fax s'est démocratisé...

Patience, l'usage viendra, mais il faudra que professionnels aident les utilisateurs "main stream", nous y avons notre place.

Rémi

C'est cette " mécanisation " de la santé fort bien décrite par Nef qui continue à faire son chemin.

Il faudra savoir l'accompagner.

Testez votre vue sur iPhone
Essilor, le spécialiste de l'optique ophtalmologique, lance en France l'application " Testez votre vue ", qui permettra à tous les utilisateurs d'iPhone ou de iPod de mettre sa vue à l'épreuve. Cette application ludique comporte quatre tests de vue, inspirés de ceux utilisés par les ophtalmologistes, et des questions sur les habitudes quotidiennes de l'utilisateur. Sans remplacer un rendez-vous professionnel, l'application permet de faire un état des lieux de sa vue, avant de prendre un éventuel rendez-vous.

L'application a déjà été testée au Royaume-Uni où elle a rencontré un vif succès. Elle s'y classe parmi les 25 applications gratuites les plus téléchargées depuis l'AppStore. Une semaine après son introduction en France, elle est en tête de la catégorie médecine en nombre de téléchargements.

La vie numérique.com

Je suis sceptique sur le temps d'appropriation des smartphones par nos patients, d'autant que j'ai une application par le biais de mon groupement, 2 ordos scannées que j'aurais eu de toute façon.

Pour info, un utilisateur de téléphone portable n'utilise que 5% des fonctionnalités...

Je vous livre néanmoins cet article qui a l'air moins sceptique que moi.

Un nouveau marketing

Un nouveau concept de marketing mobile revient, boosté par les performances du géomarketing, il permet d’être encore plus proche des individus…
L’ère du marketing sms semble révolue. La 3G et les smartphones se sont largement popularisés. Les derniers chiffres sont plus qu’évocateurs. 37% des français accèdent désormais à internet depuis un smartphone et un sur cinq le fait plusieurs fois par jour. Facebook est installé sur 270 millions de mobiles dans le monde, avec pour objectif attendre 600 millions d’utilisateur fin 2012.
La force de réseaux sociaux permet ainsi aujourd’hui d’avoir une capacité de “profiling” jamais égalée. Un profiling doublé d’une géo localisation …

Idéal pour vous proposer des alternatives hyper pointues si l’on sait ce que vous aimez et quand l’on sait où vous vous trouvez…