Quorum et non Numérus Clausus ( qui concerne le nombre d'étudiants admis en 2 ème année )

Accès aux pharmacies en milieu rural : proposition de loi
Le Parlement aurait-il entendu les pharmaciens et les patients des zones rurales ? C’est à croire que oui ! Des sénateurs viennent en effet de déposer une proposition de loi visant à améliorer l’accès aux pharmacies en milieu rural. Ils sont partis du constat que « le pharmacien est en effet le professionnel de santé auquel on s’adresse le plus fréquemment et le plus facilement, non seulement pour la dispensation des médicaments mais aussi pour obtenir un conseil » mais que « les mesures prises jusqu’à présent [en matière d’accès à la pharmacie d’officine] n’ont pas eu les effets attendus en matière d’optimisation de la desserte pharmaceutique ».
En effet, les transferts n’ont pas permis de rationaliser la localisation des pharmacies en zones urbaines « suréquipées » et n’ont pas amélioré la desserte des zones rurales. Dans certains cantons ruraux ou de montagne, cela a conduit à « une dégradation préoccupante des conditions d’accès aux médicaments, compte tenu des effets, souvent cumulatifs, de l’impossibilité d’ouvrir des officines, des distances à parcourir, de l’absence de transports collectifs, du vieillissement de la population. »
Pour y remédier, les sénateurs proposent de rendre possible l’ouverture d’une officine dans une commune de moins de 2 500 habitants où il n’existe pas de pharmacie, à condition que cette ouverture permette de desservir une population au moins égale à ce quota dans la commune considérée et dans un ou plusieurs communes limitrophes.

Accès aux pharmacies en milieu rural : proposition de loi
Le Parlement aurait-il entendu les pharmaciens et les patients des zones rurales ? C’est à croire que oui ! Des sénateurs viennent en effet de déposer une proposition de loi visant à améliorer l’accès aux pharmacies en milieu rural. Ils sont partis du constat que « le pharmacien est en effet le professionnel de santé auquel on s’adresse le plus fréquemment et le plus facilement, non seulement pour la dispensation des médicaments mais aussi pour obtenir un conseil » mais que « les mesures prises jusqu’à présent [en matière d’accès à la pharmacie d’officine] n’ont pas eu les effets attendus en matière d’optimisation de la desserte pharmaceutique ». En effet, les transferts n’ont pas permis de rationaliser la localisation des pharmacies en zones urbaines « suréquipées » et n’ont pas amélioré la desserte des zones rurales. Dans certains cantons ruraux ou de montagne, cela a conduit à « une dégradation préoccupante des conditions d’accès aux médicaments, compte tenu des effets, souvent cumulatifs, de l’impossibilité d’ouvrir des officines, des distances à parcourir, de l’absence de transports collectifs, du vieillissement de la population. » Pour y remédier, les sénateurs proposent de rendre possible l’ouverture d’une officine dans une commune de moins de 2 500 habitants où il n’existe pas de pharmacie, à condition que cette ouverture permette de desservir une population au moins égale à ce quota dans la commune considérée et dans un ou plusieurs communes limitrophes.
Source : Sénat, 9 mai 2012