Bonjour,
Je me permets de vous adresser la lettre (et son annexe) jointe sur le sujet.
Je ne veux pas rentrer dans le débat de soutenir ou non ce type d'initiative i.e. le préservatif à 20 centimes. Aujourd'hui chacun peut faire un choix, son choix. Mais demain ?
Pour demain, Jean Lamarche mentionne une conduite à tenir pour notre profession pour laquelle il faudrait faire un choix assez similaire (extrait) :
"[...] Aujourdhui, nous sommes au pied du mur et nous avons 3 solutions: soit on se tourne vers le commerce pur et dur et le n'importe quoi sur le plan santé publique, soit on durcit le ton, on se montre des professionnels exemplaires et on vire de la profession tous ceux qui n'en respectent pas les règles, soit enfin, on fait preuve de pragmatisme et on divise nos officines en deux: une partie médicale pure et dure centrée à 100 % sur I'intérêt du patient mais sévèrement contrôlée et une partie commerciale, en libre accès total avec des conseils informatisés issus des pubs de l'industrie pharmaceutique qui passent déjà à la TV et des recommandations écrites plus commerciales qu'éthiques [...]"
C'est ici que les deux pages de la missive de Jean Lamarche prennent un sens particulier qui mérite réflexion.
Quoiqu'il arrive, il faudra faire bloc d'une manière ou d'une autre, c'est à dire faire des choix: comme la dette, nous ne pouvons plus reporter au lendemain...
Merci d'avance pour votre écoute.
Guilhem
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