On a courroucé l'ordre pour rien car ces pub sont inutiles et inefficaces.
J'ai mis en garde Plus Pharmacie dès fin 2010 car un budget minimaliste de 3M d'euros par an pour la radio et 12M d'euros par an pour la TV est nécessaire.
Sinon, il vaut mieux utiliser l'argent dans l'intérêt des adhérents.....
C'est une des multiples raisons qui a occasionné mon départ.
Mauvaise publicité pour les groupements d’officine
Publié le 30/01/2012
Mauvaise publicité pour les groupements d’officine
Publié le 30/01/2012
Paris, le lundi 30 janvier 2012 – La tendance massive actuelle des officines à se fédérer au sein de groupements n’est pas sans provoquer des remous juridiques. Pour ces groupements, en effet, la tentation est forte de promouvoir les mérites de leur union. Si ces messages s’adressent aux officinaux pour les convaincre de rejoindre telle enseigne plutôt qu’une autre, le Code de la santé publique ne semble pas être enfreint. Très différentes seraient les publicités qui s’adressent directement aux patients et qui vantent les mérites des officines affiliées à tel ou tel groupement plutôt qu’à un autre. Ici, les réglementations qui restreignent strictement les publicités des professionnels de santé et qui protègent le libre choix des patients semblent contournées.
Une application i-phone pour retrouver certaines pharmacies
Tel est tout du moins depuis plusieurs mois le sentiment courroucé de l’Ordre des pharmaciens qui a vu fleurir avec inquiétude les publicités diffusées par les groupements de pharmacie. Le slogan de Plus Pharmacie se présentant comme des « experts en pharmacie et en vie moins chère » a notamment été rapidement en ligne de mire. Sur ce dossier (à l’instar de celui qui avait opposé Giphar à l’Ordre en 2010), la justice vient de donner raison à l’instance ordinale. Le tribunal de grande instance de Paris a en effet confirmé le caractère publicitaire du slogan « experts en pharmacie et en vie moins chère » et a de ce fait jugé qu’il enfreignait le Code de santé publique. Cette décision a également concerné l’application iPhone développé par Plus Pharmacie qui ne permet de détecter que « les pharmaciens du groupement » en contravention de la réglementation en vigueur. Plus Pharmacie a été condamné à payer un euro symbolique de dommages et intérêts et de s’acquitter des frais de procédure. « Le Code de la santé publique ne permet pas qu’un groupement fasse de la publicité pour ses propres membres » semble donc clairement confirmer ce jugement, comme le relève l’Ordre, satisfait.
Paris, le lundi 30 janvier 2012 – La tendance massive actuelle des officines à se fédérer au sein de groupements n’est pas sans provoquer des remous juridiques. Pour ces groupements, en effet, la tentation est forte de promouvoir les mérites de leur union. Si ces messages s’adressent aux officinaux pour les convaincre de rejoindre telle enseigne plutôt qu’une autre, le Code de la santé publique ne semble pas être enfreint. Très différentes seraient les publicités qui s’adressent directement aux patients et qui vantent les mérites des officines affiliées à tel ou tel groupement plutôt qu’à un autre. Ici, les réglementations qui restreignent strictement les publicités des professionnels de santé et qui protègent le libre choix des patients semblent contournées.
Une application i-phone pour retrouver certaines pharmacies
Tel est tout du moins depuis plusieurs mois le sentiment courroucé de l’Ordre des pharmaciens qui a vu fleurir avec inquiétude les publicités diffusées par les groupements de pharmacie. Le slogan de Plus Pharmacie se présentant comme des « experts en pharmacie et en vie moins chère » a notamment été rapidement en ligne de mire. Sur ce dossier (à l’instar de celui qui avait opposé Giphar à l’Ordre en 2010), la justice vient de donner raison à l’instance ordinale. Le tribunal de grande instance de Paris a en effet confirmé le caractère publicitaire du slogan « experts en pharmacie et en vie moins chère » et a de ce fait jugé qu’il enfreignait le Code de santé publique. Cette décision a également concerné l’application iPhone développé par Plus Pharmacie qui ne permet de détecter que « les pharmaciens du groupement » en contravention de la réglementation en vigueur. Plus Pharmacie a été condamné à payer un euro symbolique de dommages et intérêts et de s’acquitter des frais de procédure. « Le Code de la santé publique ne permet pas qu’un groupement fasse de la publicité pour ses propres membres » semble donc clairement confirmer ce jugement, comme le relève l’Ordre, satisfait.