La FSPF nous tire une balle dans le pieds !!!!

amitiés
jm

merci pour montpellier, mais ça va être très dur , mais il faut se dire qu'en début de saison nous aurions signé de suite pour une troisième place !!!

dans le languedoc roussillon : un seul élu uspo !
mais l'erreur n'est pas là : il n'y a pas que les parisiens qui bossent ...

Désolé, tu n'apporte aucun argument, je suppose que tu défends ton syndicat et c'est fort respectable.

Je propose de clore ce débat stérile.

Pour ta gouverne, nous avons des sympathisants dans chaque URPS et même 2 dans le languedoc-roussillon.

Nous FINANCONS le pharmacien dans la loi HPST depuis son origine ( et nous sommes les seuls ).

Nous avons des choses plus urgentes à traiter, je continue à croiser les doigts pour toi et montpellier.

Amitiés.

Jean Yves.

c'est bien ce que je disais , les renseignements ne sont pas les bons !

Tu rigoles.....

Nous avons de nombreux échos des différentes URPS et je dit même bravo à MIMI pour son action sur le diabète dans le vars.

Mais il faut aller bien plus loin et ce que vous tentez est voué à l'échec ou à un nombre très limité de Pharmaciens.

Je suis UNPF ( car IL FAUT ETRE SYNDIQUE ), paradoxalement, je travaille et échange bien plus avec Gilles Bonnefond.

Vous en êtes où sur l'asthme, l'INR, la BPCO, ...

Car pour tout celà, nous avons des protocoles déposés et bientôt acceptés pour TOUS NOS CONFRERES ( pas pour 30 ) et avec des rémunération supérieures à celles de la convention ( sic ).

moi aussi :

serious a écrit:

Pour info, la seule URPS qui bosse et avance, c'est celle de le région Parisienne où l'USPO est très largement majoritaire.

je le redis : renseignez vous avant de dire des conneries !!!!

Sommes trop bien renseignes.
Précise quelles conneries et nous te répondrons point par point.

renseignez vous avant de dire des conneries !!!!!!!!!!!!!

C'est vrai que je n'y connais que les plus nuls, les plus rétrogrades...
Mais c'est vrai que l'USPO, 30% en 10 ans, c'est prometteur.

Pour info, la seule URPS qui bosse et avance, c'est celle de le région Parisienne où l'USPO est très largement majoritaire.

Tous les pharmaciens dynamiques que je connais sont passés par la FSPF et l'on quitté pour d'autres syndicats.
Il ne reste que les mauvais, les vieux ( dans leur tête ou physiquement ) et ils ne sont majoritaires que car de loin les plus anciens, que la plupart des pharmaciens croient encore qu'il n'existe qu'un syndicat....

L'USPO fait 30% en 10 ans, une page se tourne, même si la fédé nous plombe encore pour quelques temps.

Mais concentrons nous en effet sur la loi HPST.

Loi HPST : un court-métrage de la section A pour impliquer les pharmaciens
Pour fêter les deux ans de la loi HPST et informer les pharmaciens sur leurs nouvelles missions, le Conseil central de la section A de l’Ordre national des pharmaciens vient de réaliser un court-métrage « La Loi HPST, c’est le moment d’en parler » mettant en scène deux pharmaciens discutant de leurs rôles et futures missions. Dépistage précoce de la BPCO, éducation thérapeutique du patient diabétique… le film illustre, au travers de 4 exemples pratiques, des situations auxquelles les pharmaciens d’officine peuvent être confrontées au quotidien. « Depuis deux ans, tout le monde parle de la loi HPST mais de nombreux pharmaciens manquent d’informations concrètes sur son application concrète en pharmacie, note Jean-Claude Tellier, président de la section A. Les nouvelles missions prévues dans le cadre de cette loi impliquent pourtant l’acquisition de réflexes et une organisation différente au sein de l’officine. Ce film pédagogique a pour mission d’accompagner les pharmaciens dans l’évolution de leurs pratiques professionnelles. »

A force de vouloir systématiquement tirer seul dans leur coin....faire les malins...on fait des conneries.

On rappellera comment ils ont été à reculons sur le rapport Rioli pour finir par le signer faute d'autre choix.
On rappellera leur position de principe longtemps anti-SPFPL.
J'en passe et des meilleures concernant leur union de façade ou intermittente avec les autres syndicats.

Pourtant, le rapport Rioli qui débouche sur l'intégration du pharmacien dans la loi HPST, on en parle de plus en plus :

HPST : à vous d’en parler !
Voilà bientôt deux ans que la loi Hôpital, Patients, Santé, Territoires a été promulguée. Cette loi donne la possibilité aux pharmaciens d’officine de remplir de nouvelles missions. Or, aujourd’hui, les officinaux ont encore des difficultés à mettre en pratique cette loi, qui nécessite l’acquisition de réflexes et d’une organisation différente au sein de la pharmacie. Pour les aider à mettre en œuvre ces nouvelles missions et les motiver, la section A de l’Ordre national des pharmaciens a réalisé un court-métrage intitulé « La loi HPST, c’est le moment d’en parler ». Ce film à visée pédagogique doit permettre aux pharmaciens de s’approprier la loi HPST, au travers d’exemples concrets auxquels les officinaux peuvent être confrontés au quotidien (mesure du souffle, suivi d’un patient diabétique…). Il met en scène deux pharmaciens d’officine discutant de leurs rôles et missions. Ce film tente de lever certaines réticences des pharmaciens notamment sur le manque de place pour créer un espace de confidentialité, le manque de temps pour assumer les nouvelles responsabilités…
Pour Jean-Charles TELLIER, président de la section A, la loi HPST est complémentaire à la convention pharmaceutique qui vient d’être signée. Il estime que tous les pharmaciens peuvent dès à présent adhérer à l’application de la loi HPST et que la rémunération peut les motiver à mettre en œuvre cette loi. Il n’y a en effet pas de raison pour que le pharmacien travaille gratuitement ! Enfin, Jean-Charles TELLIER juge utile que les officinaux changent leur façon d’exercer notamment en planifiant davantage leur temps par la prise de rendez-vous notamment, et en faisait preuve de plus de pédagogie vis-à-vis des patients.
Le film présenté par l’Ordre, bien que destiné en priorité aux pharmaciens, peut être montré par séquences aux patients pour les informer des nouvelles missions que le pharmacien peut accomplir.

Accédez au film : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Source : Ordre national des pharmaciens, 3 mai 2012

Ou encore : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Il serait grand temps que tous les syndicats de pharmaciens et les pharmaciens eux mêmes communiquent sur les mêmes longueurs
d'ondes.
A defaut de savoir comment faire, il suffirait de demander aux syndicats de médecins des cours,non pas sur leurs sympathies réciproques, mais sur la meilleure facon "de se lamenter" identiquement en public.

Un pharmacien qui communique sur sa façon particulière de faire car il sait faire coopérer les laboratoires, ce n'est pas dangereux.
Un syndicat qui lance de sa propre initiative une nouvelle enquête biaisée insinuant que tout va bien puisque l'emploi et les salaires vont bien




Paris, le mercredi 2 mai 2012 – Les officines ne seraient pas épargnées par la crise rappellent régulièrement les syndicats les représentants ces derniers mois. Et ces organisations en veulent pour preuve l’augmentation des déficits et le risque plus prégnant de faillite. Cependant, pour l’heure, les troubles économiques que rencontreraient un nombre croissant de pharmacies n’auraient pas eu d’impact majeur sur l’emploi. Cette conclusion plutôt rassurante peut-être tirée de la dernière édition en date de l’enquête sur les salaires menée chaque année depuis six ans par la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF). Réalisée auprès de 1 117 pharmacies réunissant au total 5 661 salariés, cette étude révèle en effet que seule une minorité de ces officines (211) a diminué sa masse salariale entre 2010 et 2011. Autre signe plutôt positif : les salaires des adjoints sont souvent supérieurs au seuil retenu par la convention. Ainsi, 70 % des pharmaciens adjoints sont aujourd’hui embauchés à un salaire équivalent ou supérieur au coefficient 500 ; le taux horaire moyen atteignant 21,5 euros. A cette rémunération s’ajoutent des primes relativement fréquentes : 54 % des pharmaciens salariés perçoivent une prime annuelle, dont le montant moyen est de 1 580 euros. Pour les préparateurs en pharmacie et les salariés non habilités à délivrer des médicaments, les salaires sont évidemment bien moins élevés : le taux horaire atteint ainsi 11,88 euros pour les premiers et 9,49 euros pour les seconds.

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