Pharmacovigilance, un excellent outil de valorisation.

Pharmacovigilance : le LEEM inquiet face aux orientations ministérielles

Le financement du développement professionnel continu et la refonte de la visite médicale sont les points avec lesquels le LEEM est en désaccord.

Faut il laisser les patients seuls pour faire leur déclaration de pharmacovigilance ?

Médicaments : les patients peuvent déclarer directement les effets secondaires

Jeudi 16 juin 2011


Le Journal Officiel vient de publier les textes officialisant l'ouverture aux patients du système national de pharmacovigilance, système jusqu'ici réservé aux professionnels de santé. Pourquoi et comment signaler ces effets secondaires en pratique ?


Elargir la pharmacovigilance aux patients
Plusieurs expériences pilotes ont été menées par l'Afssaps depuis une dizaine d'années pour ouvrir le système national de pharmacovigilance aux patients. Ces phases pilotes ont été menées en 2006-2007 en collaboration avec les associations, en particulier sur les effets secondaires des antirétroviraux, du Distilbène ®, des statines et des vaccins contre l'hépatite B.

Ces phases pilotes, qui "ont montré l'intérêt et l'implication des patients dans ce domaine", ont permis l'"élaboration des outils nécessaires à la mise en place d'un tel système", toujours selon l'Afssaps. Concrètement cela va permettre d'optimiser la surveillance des médicaments, ce qui pourrait déboucher sur une meilleure sécurité et éviter des retards de prise en compte d'effets secondaires graves, comme avec le Mediator ® par exemple.

La parution au Journal Officiel de textes d'application de la loi Hôpital Patients Santé Territoires (HPST) stipulant notamment que "les patients et les associations de patients concourent à l'exercice de la pharmacovigilance" va donc permettre de généraliser ces phases pilote au niveau national.

http://news.doctissimo.fr/medicaments-les-patients-peuvent-declarer-directement-les-effets-secondaires_article8029.html

L'UNPF veut graduer les alertes de pharmacovigilance
Dans sa contribution aux Assises du médicament, l'UNPF (Union nationale des pharmacies de France) préconise que les alertes de pharmacovigilance soient recueillies dans une base nationale et notées sur une échelle allant d'un niveau faible à fort (1 à 4). Autre proposition du syndicat, les données du dossier pharmaceutique doivent être disponibles au-delà de 4 mois. L'UNPF défend également le principe de la prescription hors AMM.

Au passage, j'espère que PASCAL met un peu d'eau dans son vin

jyt a écrit:

Y a-t-il des des médicaments dans l'eau de robinet ?

RTL — Y a-t-il de l'aspirine et des anti-dépresseurs dans l'eau du robinet ? Nathalie Kosciusko-Morizet, la ministre de l'Ecologie, va lancer ce lundi un plan national pour savoir exactement ce qu'il en est. L'eau va être analysée et des mesures seront prises pour que l'eau que nous buvons ne devienne pas un cocktail de médicaments.

Raison de plus pour boire du vin .

Y a-t-il des des médicaments dans l'eau de robinet ?

RTL — Y a-t-il de l'aspirine et des anti-dépresseurs dans l'eau du robinet ? Nathalie Kosciusko-Morizet, la ministre de l'Ecologie, va lancer ce lundi un plan national pour savoir exactement ce qu'il en est. L'eau va être analysée et des mesures seront prises pour que l'eau que nous buvons ne devienne pas un cocktail de médicaments.

On devrait s'en emparer et surfer sur l'excellent travail que nous réalisons tous depuis des années avec Cyclamed.

Comment éliminer les médicaments dans l'eau?

Metrofrance — Le ministère de l'environnement présente lundi le premier plan national sur les résidus de médicaments

En effet : http://www.wk-pharma.fr/video2011-pharmagora.html

Il n'empêche que devant le peu de remontée de pharmaciens auprès des services de pharmacovigilance, on peut se dire que c'est tout de même mieux que rien ces n° vert, d'autant qu'après l'appel, le pharmacien est pris en main et on aboutit au même résultat.

C'est tout de meme mieux de faire le signalement au centre de Pharmacovigilance de sa région qu'au labo .

Pour vos déclarations et vous faciliter la tâche, le n° vert de Bristol-Myers-Squibb ( UPSA ) : 0810.410.500

Je vous récupère au plus vite celui de Novartis.

Bien d'accord d'autant que dorénavant, on les remplit par internet.
Malheureusement, trop peu de déclarations à ce jour émanant des pharmaciens dont c'est pourtant un des rôles premiers.
De même, il faut qu'ils saisissent l'importance du DP, en tant qu'outil professionnel bien sûr mais aussi stratégiquement en tant qu'outil de défense de la profession contre les attaques de MEL.

Pharmacovigilance, les pharmaciens invités à ouvrir l’œil…
« Pharmacovigilance », ce mot est sur toutes les lèvres et dans toutes les oreilles… L’Afssaps a adressé un courrier aux professionnels de santé pour expliquer sa démarche en publiant la liste des 77 médicaments sous surveillance >>>
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