En 2013 , on mangera des pates

Bonjour,
Nous étions à 1.95M€ à la signature du compromis. Le CA a tout de même un petit peu baissé depuis...
Je vous recontacterai sur 2013...
Merci
Gnoutos

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Nous démarrons à 10, nous sommes donnés une période d'observation de quelques mois afin d' affiner la pertinence de notre modèle économique.
Les premiers résultats sont assez enthousiasmant et un dévelloppement national est prévu en 2013, disons deuxième semestre.

La plus petite officine fait 1,7 M et la plus grosse 6 M.

jyt a écrit:

Nous lançons une SRA début janvier, sur un mode très participatif avec des commissions, les adhérents doivent 1 journée par mois de travail à cette SRA.
A ce jour, pas de salariés, certainement rapidement une secrétaire.
Des remises supérieures avec des paliers abordables, des livraisons séparées.
Des outils marketings ou Bertrand nous a maché le travail et ouvert les yeux.
Une contre partie : la cotisation ? 100 euros par an....
Alors laquelle ? : une discipline de fer.

Nous allons peut être nous planter mais on est très bien parti.
Qui m'aime nous suive mais n'oubliez pas la condition sinéquanone, la discipline de fer qui vous permettra de rentrer mais aussi....de sortir.
Le CA est constitué mais il acceuillera de nouveaux entrants représentant les différentes régions qui nous suivront.
Une dernière chose, discipline de fer ne veut pas dire que vous n'avez pas votre mot à dire, au contraire, nous sommes très participatifs et friands de vos bonnes idées, de faire avec vous du Benchmarking et du Brainstorming.
Mais une fois qu'une décision est entérinée, tout le monde la suit sans exceptions.

A suivre...

Bonjour jyt,

Je m'installe dans quelques mois et je souhaitais connaître les conditions pour se joindre à votre SRA. Avec ma femme, nous n'envisageons de faire partie d'un groupement. Par contre, se grouper entre pharmaciens volontaires pour bénéficier de remises et peser plus lourd face aux labos nous intéresse.
Bénéficier de l'expérience et de l'enrichissement mutuel de confrères est primordial aujourd'hui pour s'adapter à nos nouvelles missions.
Y'a t'il des facteurs géographiques ou financiers (taille de l'officine) pour pouvoir collaborer ?

A bientôt

Gnoutos

Il serait plus astucieux de transformer ( pour les raisons indiquées ) et rien n'empêche dans un deuxième temps de réetaler le prêt sur une plus longue durée ( les deux opérations peuvent d'ailleurs être menées de front ).

Je ne veux pas donner de conseils à ton comptable, je ne suis que pharmacien, mais je ne fais que suivre les précieuses recommandations de mon expert comptable, spécialisé en officines, de mon commissaire aux comptes qui a réalisé un mémoire remarquable et primé sur l'optimisation fiscale ( rémunération des dirigeants-versement de dividendes ) et de mon avocate fiscaliste.

certes ,je sais tout cela ,mais c'est vrai qu'un petit coup de sang ,de temps en temps ...


par contre ,mon comptable prevoit une cession a une selarl , plutôt qu'une transformation (de manière à réemprunter sur plus longtemps ) .

.

Ne t'énerve pas après des détails aussi futiles corto et au passage, encore merci de nous avoir rejoint et merci pour tes nombreuses contributions très matinales.

Le passage en SELARL est un détail technique dont le coût est modéré ( 3.000 euros ) et dont le but est de vous faire économiser de l'impot et vous donner un ballon d'oxygène pour investir, prendre du temps libre, vous former ainsi que vos collaborateurs ( vous aurez davantages de moyens pour payer des heures sup' ou prendre des remplaçants ).......

Surtout, FAITES UNE TRANSFORMATION ET EN AUCUN CAS UNE REVENTE DE VOTRE OFFICINE A UNE SELARL.
La revente de son fond à une SELARL est alléchante sur le papier car elle vous permet de toucher un peu de cash MAIS, vous réendettez la SELARL ( pas très prudent par les temps qui courre ), vous payez des droits d'enregistrements ( 5% ), des honoraires d'actes ( 2% ), une taxation de 34 % si vous faites une plus value ( imposition sur les plus values et CSG-RDS ) et je ne compte pas les honoraires de l'éventuel
cabinet conseil bien intentionné qui viendra vous vendre cette fausse bonne idée pour 30 à 50.000 euros.

La simple transformation ( je l'ai pratiquée en 2003 ) n'a aucun de ces inconvénients.

Si vous êtes associés, vous devez effectivement prévoir une rémunération de gérance ( sauf si c'est avec votre épouse comme dans mon cas, vous faites ce que vous voulez ).
Si vous êtes associé unique de la SELARL, vous faites aussi ce que vous voulez et votre comptable officialisera votre rémunération de gérance en fin d'année qui peut parfaitement varier d'une année sur l'autre.

En cas de rémunération de gérance, maximisez là et surtout, ne vous versez pas de dividendes, ils sont promis à une taxation rédibitoire à partir de 2013.

Je vous l'accorde, c'est un peu technique, je suis à votre disposition sur ce forum, par mail : jythierry@gmail.com ou sur mon portable
06.85.21.65.59 pour répondre à vos questions et en plus, ......je suis gratuit

La certification Corto permet en général de gagner 20% de temps au niveau des tâches en Back Office, même si c'est un peu chronophage au début car il faut écrire des procédures, mais on peut le faire à son rythme.
On dégage ainsi du temps pour mieux s'occuper des ses clients, prendre un peu de temps libre.......

énervé aussi de passer en SELARL uniquement pour le fait de penser que c'est la seule et ultime solution pour peut être ne pas "boire le bouillon " : rémunération de gérance à 1500 euros par mois ! Alors que le but n'est pas là ...
énervé de constater que beaucoup de confrères ne voit pas le vent tourner (holding indispensable ,sel ,etc ...) et qu'ils se voient encore beaux avec leur profession dite libérale (subventionné a 85 % leur cpam) .

et dire que l'on se met en accréditation qualité avec audit véritas et tout le toutim ...... A se demander si on ne dépense pas de l'énergie à se faire taper sur la tête .

franchement ,ce matin ,je suis dégoûté ...et 2013 n'a pas commencé !

ah si ,satisfait de ma remontée au vendée globe virtuel !

Nous sommes tous énervés mon brave Guilhem, mais heureusement que je vous ai tous autour de moi sur ce forum sinon, j'aurais jeté l'éponge depuis longtemps.
C'est vous qui me motivez et me donnez l'envie d'aller plus loin pour l'ensemble de la profession.

Je te remercie également de tempérer mes ardeurs car tu me connais, ......

Néanmoins, une entente syndicale aura lieu quand les poules auront des dents, je les connais trop bien pour les pratiquer depuis des lustres.
Relis le post de Philou cet après midi :

http://forum.avenir-pharmacie.fr/t752-remuneration-a-lacte-des-pharmaciens-dofficine-attendre-ou-foncer#3944

Un extrait :

L’Assurance maladie et les syndicats s’étaient donnés pour objectif d’aboutir à un accord d’ici la fin de l’année. Cependant, les dissensions qui ne cessent de se creuser entre les syndicats laissent redouter un ajournement des négociations.

Bon, je t'ai laissé un message sur ton portable, je passe te voir le 22/11 dans l'après midi et on se boit une bière ?

Jean-Yves, j'ai dit ça parce que j'étais énervé.

Enervé de ne pas voir émerger d'autres solutions que de salarier les médecins pour que l'on puisse leur adresser des malades comme ta grand mère d'avant hier.

Enervé de ne pas trouver une voie de travail qui soit suffisamment claire et consensuelle aux oreilles extérieures (autorités, médicins etc.) pour atteindre notre but : participer à l'effort de santé de notre beau pays.

Enervé de ne pas connaitre ces intervenants qui disent des choses sensées mais qui n'aboutissent à rien.

Enervé de ne pas pouvoir dire à Pascal "on y va" quand il nous dit qu'on doive faire quelque chose.

L'anaphore est à la mode en ce moment. Mais au fond, n'est-ce pas simplement une façon élégante d'exprimer une conviction profonde mais aussi un ras-le-bol d'un consensus mou qui n'aboutit à rien d'autre que de concentrer notre richesse entre les mains de quelques-uns alors que l'excellence est l'affaire de tous, tout le temps.

L'idée de cette SRA est une bonne idée pour faire que chacun se bouge s'il en a la possibilité. D'autres solutions existent aussi.

L'idée de centre de santé avec médecins salariés est une bonne idée pour cautériser une plaie dans un arrondissement, une sous-préfecture ou un bourg. D'autres solutions existent aussi.

L'idée d'embrasser la question du rôle du pharmacien dans le parcours de soin d'une autre façon que du haut du dogme de l'économie libérale débridée peut certainement résoudre plusieurs situations difficiles. D'autres solutions existent aussi.

Notre pensum, c'est de ne pas s'entendre pour appliquer ces solutions là où elles doivent l'être. Les 3 syndicats majoritaires ne devraient faire qu'un pour que nous puissions nous appuyer dessus. Le reste viendra naturellement.

Je pense m'être mal expliqué et avoir aussi sans doute trop direct ( une fois de plus ).

La solution des médecins salariés est une solution de plus à celle de la télémedecine et de l'augmentation du numérus clausus chez les médecins ( il faut 10 ans pour installer un médecin ).
J'ai encore une grand mère pas plus tard qu'avant hier qui avait rapidement besoin d'un médecin, nous en avons appelé 6 que nous connaissons bien dans notre quartier, aucun n'a pu la prendre.....elle est reparti en pleurant.

Il est faux, mais là aussi je le reconnais, mes propos peuvent prêter à confusion, de penser que j'ai le monopole des bonnes idées.
Regarde comme j'ai été mauvais dans ma réaction avec SP santé sur ce blog et c'est toi Guilhem qui a rattrapé le coups avec habileté et fermeté.
J'ai même fait mon méa culpa alors que personne ne me l'avait demandé.

Maintenant, je n'ai rien contre ce brave homme, au demeurant fort sympathique et très dévoué pour sa profession qu'est Mr Jean Patrice Folco.
Mais ce type de discours, je l'entends depuis 20 ans.....

Vous êtes pleinement satisfaits de vos groupements ?????
Mr Folco est Giphar, ce sont des gens fort sympathiques également mais pensez vous que malgré leur discours très éthique ( qui me plaît bien
au demeurant ) ils soient à même de sortir leurs pharmaciens de l'ornière ?

Nous lançons une SRA début janvier, sur un mode très participatif avec des commissions, les adhérents doivent 1 journée par mois de travail à cette SRA.
A ce jour, pas de salariés, certainement rapidement une secrétaire.
Des remises supérieures avec des paliers abordables, des livraisons séparées.
Des outils marketings ou Bertrand nous a maché le travail et ouvert les yeux.
Une contre partie : la cotisation ? 100 euros par an....
Alors laquelle ? : une discipline de fer.

Nous allons peut être nous planter mais on est très bien parti.
Qui m'aime nous suive mais n'oubliez pas la condition sinéquanone, la discipline de fer qui vous permettra de rentrer mais aussi....de sortir.
Le CA est constitué mais il acceuillera de nouveaux entrants représentant les différentes régions qui nous suivront.
Une dernière chose, discipline de fer ne veut pas dire que vous n'avez pas votre mot à dire, au contraire, nous sommes très participatifs et friands de vos bonnes idées, de faire avec vous du Benchmarking et du Brainstorming.
Mais une fois qu'une décision est entérinée, tout le monde la suit sans exceptions.

A suivre...

Jean-Yves, je ne suis pas d'accord avec toi.

Se battre pour faire avancer les choses différement de tout ce qui a été fait jusqu'à maintenant, oui.

Ecarter toute solution qui ne soit pas tienne, non.

L'auteur de la contribution propose au moins une solution : prospecter la question de l'évolution de notre système de santé d'une façon différente de ce qui a été fait jusqu'à maintenant et proposer de prendre un chemin différent de ceux recommandés jusqu'à maintenant, en y incluant - réellement - le pharmacien.

S'il y avait une solution miracle qui résoudrait tout, elle serait mise en oeuvre depuis longtemps.

Dans l'optique d'une structure de médecins salariés telle que tu la soutiens, tu provoques inéluctablement une concentration des officines sur un mode "t'as-pas-de-corrognes-et/ou-de-pépettes-pour-y-aller-ou-t'es-pas-au-bon-endroit-crève" au sens libéral pur et dur.

Ma question est simplement : est-ce que c'est cela que veut la société française ?

S'il on regarde l'évolution des commerces villes & campagnes, la tendance est à la déconcentration et à la proximité. Certes nous n'avons pas les moyens de garder un tissu officinal aussi dense qu'aujourd'hui. Mais de là à le concentrer à l'extrême car il n'y aura inéluctablement que très peu de médecins candidats, il n'y a qu'un pas nettement franchi. Et si les yeux du maire ont brillé, c'est qu'il y a une réelle opportunité que ce soit mis en place avant les autres - qui plus est avec des fonds privés de pharmaciens. Après moi le déluge.

Loin de moi l'idée de frein ou de resistance au changement, bien au contraire : ce contributeur a synthétisé un ensemble d'informations pertinentes donnant une hauteur de vue intéressante et globale. Ne la rejetons pas.

Merci infopharmadjoint pour cette contribution que je ne connaissais pas.

C'est une belle complainte en effet....mais qui ne propose pas de solutions et que je ne partage pas.

Qui viendra nous plaindre alors que l'on rétorque aux chirurgiens qu'ils gagnent 12.000 euros par mois en moyenne, comme si c'était un scandale, et qu'on leur plafonne leurs dépassements d'honoraires qui n'ont pas été revalorisés depuis 20 ans ( tiens, ça me rappelle ce qui nous guette ).
Pourtant, ils ont un métier combien plus noble que le notre, sont Bac + 15, on des gardes, des astreintes et sont souvents réveillés en pleine nuit pour sauver des vies humaines.

Je l'ai souvent dit, plutôt que de passer 90% de notre temps et de notre énergie à pester et larmoyer contre des évènements sur lesquels nous n'avons pas prise, passons 90% de notre temps et de notre énergie à trouver des solutions.
Un exemple ?
Qui a pris RV avec son maire à la suite du post paru sur notre forum par Blinkette ?
http://forum.avenir-pharmacie.fr/t702-lutte-contre-la-desertification-medicale?highlight=d%C3%A9sertification

J'avais RV cet après midi avec mon maire d'arrondissement sur ce sujet, je lui avais fait parvenir l'article au préalable, car la désertification médicale touche aussi maintenant certains quartiers des grandes villes comme les petites et moyennes villes ( sauf dans le sud ouest ).

Vous savez quoi ?
Ces yeux ont brillé.

Je ne sais pas si ce sera suivi d'effets mais je sais que ça remontera jusqu'à notre maire de Lyon, Gérard Collomb.

N'oubliez jamais que dans le monde, le miroir arrière est hélas toujours plus clair que le pare-brise.

Une lettre un peu longue mais qui résume bien la situation.

http://www.meca-pharma.com/actualite-economique/actualite-2012/126-nouvel-article-actualite.html

Ils ne bougeront pas.
Les syndicats qui tienne 50% des pharmaciens ont des leaders d'opinion départementaux qui donneront consignes de ne pas bouger et de nous discréditer.
J'ai trop vu comment le collectif des groupements ( c'est là que j'ai connu Lucien ) représentant 11.000 officines était tenu comme quantité négligeable et méprisé par les syndicats qui ont le pouvoir et la légitimité et ne souhaite pas en partager une once, ne serait-ce que dans l'intérêt de la profession.
J'ai trop vu Lucien en 2007 tenter de faire barrage à la première convention, pourtant ce n'est pas un manche, avec 800 adhérents à l'époque
derrière lui se faire retoquer.
Les petits sont pris à la gorge et ne peuvent même plus se permettre ne serait-ce qu'une journée de grève.
Les gros, qui au passage n'ont pas tous des trésoreries mirobolantes, attendent égoïstement que les petits crèvent.
Mais plus ils grossiront, plus on estimera qu'ils doivent être rentables et plus on les pressurisera.

J'ai été appelé par Gaertner et Bonnefond bien avant la signature de la convention et je leur ai dit de ne pas passer à l'honoraire.
Gaertner m'a dit, oui mais les pharmacie Allemande....je lui ai répondu que leurs honoraires n'avait pas été révisé depuis 2004, je lui ai même dit comme les actes chirurgicaux et comme les gardes en pharmacie qui ont mis plus de vingt ans à être révisé....je lui ai même parlé des tarifs des préparations du tarex qui n'avait pas bougé d'un iota depuis des lustres, de la supression brutale du SHP en 1990 qui était un honoraire.

La conclusion de Gilles Bonnefond à la suite de notre entretien et à qui j'ai donné les mêmes arguments.....oui mais il faut bien faire quelquechose.....

J'agirais, je te le promet, mais nous n'avons qu'un fusil à un coup, on a pas le droit de se rater.
Je mijote quelquechose, on va voir si ça prends mais je ne peux pas l'éventer.
Si ça marche, vous serez les premiers prévenus.

Bien sûr que ça me démange d'agir, bien sûr que je bouillonne quand je vois ces inepties, il suffit de provoquer la bonne fenêtre de tir, et elle ne se fera malheureusement pas avec les PEC, pas avec Delphine, pas avec les syndicats qui on tous sans exception défendu l'honoraire.

Petit détail mais pour avoir plus de crédibilité auprès des pouvoirs publics qui vont venir voir notre site, j'attaque sa réfection lundi avec un webmaster, fini les pubs intempestives.

Ce n'est plus tenable JY .
Nous devons réagir .
Si les titulaires ne veulent pas descendre dans la rue , incitons les étudiants , nos adjoints , nos préparatrices à le faire et ensuite ce sera l'effet boule de neige .
JY , Delphine , ech , pharmadesabusé , vous pouvez , vous devez faire bouger nos confrères .
JY , tu as assez de relations pour agir . Tu dois le faire .

Agir sur les deux premières tranches permet de générer le moins de dispersion dans le réseau", a observé Philippe Besset.

Enfin, le syndicat estime qu'il serait nécessaire de remettre dans la rémunération sous honoraires une partie de ce que les pharmaciens gagnent en remises génériques, ce qui implique une baisse du prix des génériques mais sans impact sur l'industrie.

Par ailleurs, Philippe Besset a reconnu qu'il serait impossible que les honoraires s'appliquent dès le 1er janvier 2013, compte tenu de certains délais légaux et du temps de mise à jour des systèmes informatiques. Il a donc espéré une possible mise en œuvre en septembre 2013.

La convention était opposable qu'ils disaient, quand je l'ai donné à étudier à mon avocate, elle a éclaté de rire.
Je vous l'ai dit, ils ont voulu l'honoraire, il est en place et je les laisse aller supplier à genou le ministre de la santé tous les ans pour une revalorisation qu'ils auront au compte goutte dans le meilleur des cas.
Ils auront la mort de milliers de petites pharmacies sur la conscience, dire qu'ils espèrent encore les sauver.....

pascal a écrit:

[...]Par ailleurs, Philippe Besset a reconnu qu'il serait impossible que les honoraires s'appliquent dès le 1er janvier 2013, compte tenu de certains délais légaux et du temps de mise à jour des systèmes informatiques. Il a donc espéré une possible mise en œuvre en septembre 2013.

Donc dés janvier baisse de 12,5% de la marge des médocs et rien en face .
Merci la fédé .[...]

Et les autres pignoufs syndicats, ils en pensent quoi ?

Je reviens sur la notion de prise de pouvoir des mutuelles via le projet de loi d'officialiser les réseaux de soins propres à chaque mutuelle. Les syndicats, ils en pensent quoi ?

Les chiffres GERS annoncent -11% en septembre et -8% en octobre. Les syndicats, ils en pensent quoi ?

...

Conclusion de Besset avant le début des négos sur les honoraires

Par ailleurs, Philippe Besset a reconnu qu'il serait impossible que les honoraires s'appliquent dès le 1er janvier 2013, compte tenu de certains délais légaux et du temps de mise à jour des systèmes informatiques. Il a donc espéré une possible mise en œuvre en septembre 2013.

Donc dés janvier baisse de 12,5% de la marge des médocs et rien en face .
Merci la fédé .
Et on fait quoi ? 2 solutions : soit tu crèves , soit t'as les reins solides et tu regardes tes voisins crever .
Elle est belle notre profession .